Éléments de réflexion

La surintensité de nos mécanismes internes nécessite un différentiel, mais hors normes, on peine à vouloir l'installer. On est à la fois à portée et hors de portée car on détermine un besoin sur la base d'un Pat, ce qui aux échecs est neutralisant.

C'est pourquoi l'esprit se replie, en réadaptation de ses armes nouvelles. C'est un nouveau bushido qu'il lui faut.

Il ne faut pas courir à sa perte. Certains questionnements peuvent venir après. Les révélations se dévoilent alors spontanées quand le bon moment favorise les pensées désenclavées.

Pour un bon jardin, il faut préparer la terre... On peut y planter bien après la nature de ses choix et le fruit de ses variétés.

Quand la terre est riche en éléments nutritifs, elle fait compost d'elle-même.

Et surtout, aère bien cette vivante matière à retourner.. Il n'en sortira pas du potager avec ta semaison tout d'ornement.

Être ému ablutionne l'esprit

Peut-être un moment singulier exerce-t-il une neutralisante OPA. Mais charme inouï que de tels instants.

il faut apprécier la saveur un peu adolescente de ses patauds effets.

C'est entendu, l'indicible qui s'invite a des atouts maîtres pour détourner la pensée de ses conduites maîtrisées. On apprend encore et toujours pour le plus grand plaisir de découvrir en situation d'être vulnérablement ému.

En homme avisé, vulnérablement on se maintient en capacité d'être sensible.

L'ego, c'est l'impropre qui fait tâche sur l'immaculé en retrait

L'ego, c'est tout ce qui vient se greffer sur ta nature profonde (l'âme) pour en conjurer l'esprit en son canevas le plus singulier.... C'est ce qui lui donne l'attrait surfait qu'on lui connaît, au travers de tous les signes de reconnaissance d'un conditionnement en vogue.

À l'inverse, la démarche est donc à contre-courant, décalée et incomprise, en lévitation des habituels comportements. Mais cela n'empêche pas de donner à l'essentiel, le bon goût du superficiel.

C'est juste une question d'assaisonnement.