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14/10/2013

Pierre Berger, CFDT, syndical-mondialiste

Les syndicats ne font pas de politique. Dieu est bon. L'église accueille les indigents. les syndicats aussi. Croyez et Dieu vous aidera.

Mr Berger nous enseigne quoi penser à propos du Front National. Il est intelligent Mr Berger, il nous conduit à penser qu'un bon programme économique ne peut être qu'entre les mains de ses amis mondialistes. Partant, les solutions prônées par le parti de la résistance à l'oppression n'est que démago. Est démago la volonté du peuple de détrôner les caciques d'un système dont on constate l'échec cuisant en guise de référence économique.

Mr Berger dit : "Le Front National grandit sur les peurs et la défiance". "Le Front National est un danger pour notre société, pour l'économie et pour les salariés". Mr Berger n'a pas le soucis de la contradiction !!!

Le FN n'a pas de programme crédible assène-t-il. Ce qui dérange notre evêque de la bonne parole, c'est que Marine le pen démine le terrain social que les amis de Mr Berger ont transformé en place forte pour convaincre les esprits otages à s'embrigader contre eux-mêmes.

13/06/2013

Retraite des fonctionnaires / La douche froide

La commission Moreau va dévoiler vendredi ses pistes de réforme des retraites, visant à réduire un déficit de 20 milliards d'euros attendus en 2020. Parmi les solutions, elle devrait proposer de calculer les pensions des fonctionnaires non plus sur les six derniers mois mais sur les dix dernières années.

En plein débat sur un éventuel rapprochement des systèmes de retraite entre public et privé, la CGT fonctionnaires a affirmé que toucher aux règles de calcul de la retraite des fonctionnaires serait un "casus belli" irrémédiable, alors que le leader de la CFDT, Laurent Berger, s'est déclaré favorable à "un rapprochement des différents régimes" de retraite.

Entre les syndicats qui dénoncent et laissent passer, et les syndicats qui font office de "tête de pont", les réformes passent toujours. 20 milliards seront pris dans la poche des français. Vive l'Europe, la Jérusalem des financiers apatrides.

Et si on nous proposait une réforme pour la suppression des syndicats ?? Ils coûtent cher et ne servent à rien !!

21/01/2013

Accord sur l'emploi entre avant-garde syndicale et Medef

Laurence Parisot a qualifié d'historique l'accord sur l'emploi, "dit accord sur la sécurisation de l'emploi" entre la CFDT, CFTC, CFE-CGC et le Medef. Traduction : faciliter les licenciements collectifs et accentuer la flexibilité en faveur des gros acteurs de la vie économique.

On comprend l'enthousiasme de Mme Parisot. Le chantage à l'emploi ne s'en porte que mieux !!

Récapitulatif en couleurs s'il vous plait, pour un accord inique, immoral, aux objectifs biaisés.

"Temps de travail et surtout salaires pourront être revus à la baisse en cas de difficultés conjoncturelles. Si le salarié refuse, c'est le licenciement pour motif économique, tout en dégageant de ses obligations le seigneur qui vous nourrit. En d'autres termes, on institutionnalise la précarité par une adaptation de la masse salariale lorsque les commandes s'effondrent."

"Mobilité interne à la guise de l'employeur. Si l'employé refuse, c'est le licenciement pour motif personnel."

Enfin,"taxer les contrats à durée déterminée ne va pas aider les petites entreprises qui ne peuvent faire autrement. En d'autres termes, l'Europe et les Etats vassaux créent un climat instable et taxent les effets de cette instabilité sur le terrain, au détriment des petits acteurs tels que PME-PMI.

Quant à la complémentaire santé pour tout le monde, elle serait dans l'annonce, pas dans le contenu du texte selon Jean-Claude Mailly, patron de FO.

Il est vrai que pour certains, ça n'est pas tant la substance de l'accord qui compte que le signe qu'il envoie. Des mots sur fond d'espérance à destination d'une masse salariale bernée, soumise à ses mentors, pendue à ses icones qui ergotent pour mieux se soumettrent aprés un baroud d'honneur et de circonstance.

En attendant, Monsieur pauvreté, l'ex-patron de la CFDT, lui, va pleines voiles : il a rejoint l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS), a pris la présidence de Terra Nova, organe de réflexion du PS, et sera chargé du suivi du plan gouvernemental sur la pauvreté.

Qui se doutait qu'il penchait à gauche ??

Mais tout n'est pas perdu pour tout le monde. En France, on aime à rebondir sur l'évènement. Pour le fun !! La gloire immortelle d'une idée qu'on se fait à l'appel d'un roman à l'encre usée qui flatte le français aux gloires empoussiérées. Cette constante aboutit à ce que nos démarches n'avancent à rien. Pour le fun donc, le Front de Gauche accompagné de l'apolitique CGT lance  mercredi 23 janvier sa campagne contre l'austérité. A l'internationale du Medef s'oppose l'internationale des sans-patries fixes. La chose et son contraire avec les mêmes ingrédients !!

19/10/2012

Florange, on s'en fout !!

La future banque publique d'investissement (BPI), référence à la banque publique allemande KFW, doit voir le jour début 2013. Aux dires de son futur président Jean-Pierre Jouyet, elle n'a pas vocation à "aider les canards boiteux", et ce, en réponse à une question sur un éventuel soutien à l'acierie de Florange, en Moselle.

Bras armé de la politique économique du gouvernement, censée relancer la compétitivité des entreprises industrielles, entreprises innovantes et PME exportatrices, la BPI abandonne les blessés inaptes pour le front. L'acierie de Florange n'a pas pour elle d'être un secteur stratégique d'avenir, qu'elle crève.

La raison est simple : "La BPI n'est pas un outil défensif" qui doit voler au secours d'une entreprise en difficulté, mais "un outil offensif" qui doit accompagner la croissance des PME, a résumé le ministre de l'économie, Pierre Moscovici.

Comment tout cela sera-t-il supervisé ?? Ca promet !! Avec les régions, ça sera fête tous les jours !! Prenez le foot, quel exemple !!

Financement des clubs pros / Etat / collectivités / Régions

On l'aura compris, pas de place pour les canards boiteux dans notre société prédatrice. Ce monde est aux banques et aux actionnaires sous la bénédiction des politiques dispensateurs. Les ouvriers de Floranges on s'en fout !!

En réponse à ce mépris du travailleur jetable et corvéable, joute des élus UMP contrariés au prétexte de conflits d'intérêts, car les régions, présidées par la gauche sauf l'alsace, auront un rôle déterminant à jouer dans cette banque qui travaillera avec de l'argent public !! Joute ou jalousie ??

Gauche, droite, notre malédiction. BPI, OSEO, même scénario !!

09/10/2012

Traditionnelle échappée de la contestation vociférante

Sous le soleil rayonnant du ministère du redressement productif, plusieurs milliers de manifestants se sont pressés derrière une banderolle appelant au développement de l’industrie, de l’emploi et de son contenu social. En résumé, derrière le mégaphone et l’éternel numéro de la CGT, on assistait à la rentrée syndicale et son cortège de fidèles en pèlerinage trivial.

Et la banderolle « VIVE l’EUROPE », elle est où  Mr Bernard Thibault??

D’après notre défenseur de la cause du peuple, cette démonstration de force  est une alerte à l’égard des pouvoirs publics et du patronat.  Faut-il en rire ?? Peu importe votre allégeance, le principe est simple. Vous faites sortir du bistrot tous les mécontents vociférants et votre opération de com est validée pour apparaître comme une heureuse initiative au bénéfice du peuple.

En réalité, le bien-être du peuple est l'objet d'une fin de non recevoir. Ses revendications sont en revanche le blé à moudre des moulins qui fonctionnent grâce à la nature atone et servile de la classe ouvrière dévoyée par ses gourous. Le pain n'est pas à toutes les tables !!

Prière syndicale : Patronat mon amour, nous sommes voués à une cause commune, gouverner les masses grâce à nos appareils intronisés en état de conflit apparent pour la vitrine de l'actualité commanditée. Syndicat mon évangile, cadeau de Dieu sans fin de mandat, prière du peuple sous perfusion. Aujourd'hui je me tiens à la porte de ton coeur comme un mendiant, louange à toi, ainsi soit-il.

Scoop !! Jean-Luc Mélenchon était là, l’immanquable.

02/03/2011

Linette de la Natty

Linette de la Natty 1995 / 2011

J'ai perdu ma petite chatte aujourd'hui. Je l'ai enterrée dans le jardin ce matin.

Je n'étais pas affectueux avec ma linette. Ou trés rarement. Je me suis juste occupé d'elle parce que je m'y étais engagé.

Avec le temps, mon coeur s'est un peu retranché. Linette, elle, n'a jamais changé. Souveraine et sereine, tout ce que je ne suis pas!!

Je l'ai quelquefois regardé avec hauteur. Elle, m'a toujours aimé.

Je l'ai vu une dernière fois ce matin, elle délivrée, et moi livré à moi-même.

Elle me manque maintenant. Tant pis pour moi.

03/01/2011

2011, quel sera son cru?

BONNE ANNEE 2011

(Observer le calendrier chrétien, 1ère formalité de l'année)

02/03/2010

L'amour est dans le sexe

L’équilibre d’un couple repose sur une activité sexuelle dynamique supposée témoigner d’un épanouissement conjugal intimement lié à cette vertu cardinale. Si vous en doutez, c’est parce que vous êtes aussi fermé qu’une église, et aussi froid qu’un mausolée. Personne ne se hasarderait à mettre en doute cette bible charnelle face aux regards lancés de ceux qui se délectent à l’idée de mettre à nu le témoignage de votre expérience personnelle peu talentueuse. En approuvant implicitement, on est l’amant de cet espèce de libido intellectuelle et collective dopée par la vanité humaine et entretenu par la lâcheté sociale-comportementale. La messe est dite. N'ayez pas l'indélicatesse de susurer ce qu’est l’amour aux éconduits du cœur, afin de ne pas leur enlever le monopole grandissant de leur amour missionnaire à la mode actuelle. Ils sont aussi sentimentaux qu’un nid de frelons dont on dérangerait l'évolution dans le foyer de son action.

25/01/2010

L'humour a bon dos !!

Le français est très friand de divertissements. Sujet on ne peut plus attaché à l’humour, il bisse les grands noms de la scène et consent à subir la raillerie au point de devenir lui-même un objet de dérision d’une indigne façon. L’humour est devenu une institution au sein de laquelle se mesure la stature d’une personnalité soucieuse de canaliser pour son actif, les courants d’opinion politiquement corrects et fondamentalement méchants, ainsi que les tendances et les penchants populaires les plus symptômatiquement actuels. Tout est mis en scène pour nous rendre sympathique ce qui se fait de moins vertueux en ce monde. Tout est permis sur le ton de l’humour, à condition d’être dans le ton. Tout est fait pour karchériser la France d’hier afin d’édifier la France de demain, juché sur le tas d’immondices des mentalités les mieux représentées. Qu’à cela ne tienne, le français applaudit comme à son habitude, et valide avec enthousiasme tout ce qui l’avilie un petit peu plus, grâce à l’apport brillant de nos modèles d’intégration choisis. Nous n’avons que trop en mémoire le méchant navet qui rapporte gros « bienvenue chez les ch’tis », le « beurk » national qui se  présente comme une tendre apologie, au contraire de ses détracteurs qui se présentent comme d’incurables aigris. Manifestement, la dérision, dés lors qu’elle se présente en habit d’ange, est ainsi comparable à une bible ouverte. C’est bien dans cette fange malsaine qu’il nous faut cependant vivre, en se disant qu’il est toujours préférable d’être le valet de pique que l’as de coeur là où les cons sont rois.

12/03/2008

Femme dans la société

Parlons des femmes !! Je crois savoir qu’il y a un certain tabou à parler de la situation des femmes aujourd’hui. La plupart des hommes se confondent en compliments, admirateurs éperdus, éperdument hypocrites comme le sont tous les courtisans qui n’ont pas vocation à mouiller leur chemise pour régler un problème dont la solution nécessite une prise de position qui n’a pas le caractère séduisant et médiatique du nihilisme libéral ou du laissez faire libertaire. Ces hommes qui se disent aimer les femmes aiment en réalité un sentiment plus personnel que nature, et qui se rattache directement à l’idée qu’ils se veulent donner d’eux-mêmes. Idée peu contraignante dont ils font un usage immodéré au service du fétichisme de leur démission magnanime. Derrière de flatteuses paroles pleines de vide qui les dédouanent, les dispensent et les excusent, ils renoncent à servir le temple pour aduler une espèce d’utopie démagogique de marché. En définitive ils ne soutiennent en rien la condition féminine mais bien au contraire, l’abandonnent aux  lourdes chaînes qui la condamne aux servitudes les plus triviales. Car, la question n’est pas de savoir si on les aime, si elles sont belles et si l’homme est infiniment homme devant l’idole, la question est de savoir la place de la femme aujourd’hui dans une société, les travers de cette dernière dont la femme est la victime obligée, et les moyens d’y remédier. Il ne s’agit pas de donner libre cours à quelques prouesses intellectuelles inutiles et fastidieuses, mais à dégager des idées fortes, autant dire, des vérités qui dérangent. Et en réalité, c’est bien ce qui dérange l’homme. Il n’est pas là encore question de dégager des responsabilités, mais il serait malhonnête de s'en remettre à la fatalité. Les faits parlent d'eux-mêmes. L’homme a déserté la femme pour se consacrer à ses propres désirs. C'est à dire qu'il a cessé d'être le preux chevalier qui relève le défi au moindre affront porté au symbole fort qu'a représenté la femme dans son imaginaire. Dans le même temps, la femme elle-même ne se sent pas liée à cette image trop pieuse, canalisée et passéiste de sa propre condition. Tout ce qui est destiné à relever le totem de la Femme mère de tout ce qui vit, est réactionnaire pour les uns, archaïque dans l’esprit de certains. A tout bien considérer, l'église n'est pas pour rien dans cette lassitude, avec ses idées arrêtées qui laissent peu de place à la féminité. Mais en réalité, la conception plus moderne dite libération ne serait avant tout qu’une prison dorée destinée à ôter à la femme les acquis dont elle fait siennes les pires représentations. En définitive, on retombe sans cesse dans ces clichés qui font que le nihilisme est source d’émancipation, et le respect, sectarisme et asservissement.