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24/07/2009

Le paganisme est indéracinable

Le paganisme est indéracinable. Qu’il survive dans l’esprit d’une minorité consciente n’est pas un handicap.  Les pierres de nos temples qui nous ont été confisquées  ont eues pour effet de raffermir nos  âmes. Nos livres brûlés nous ont permis de repenser et  recréer pierre après pierre pour une meilleure compréhension, l’articulation de nos pieuses pensées. Les chrétiens pensent avoir triomphé, mais quel triomphe y a-t-il à livrer son âme au mercantilisme de leur esprit pour sauvegarder une institution qui ne doit son existence ou sa survivance qu’à ses abdications et à sa duplicité. Celse et Porphyre pour ne citer qu’eux ont dit l’essentiel sur la pauvreté des écrits chrétiens, insipides et contradictoires. Ces pauvres chrétiens qui n’ont eu plus lumineuse idée que de purifier leurs plaggiats pour pouvoir se les approprier à seule fin d’ étoffer leur doctrine messianique. Il serait fantaisiste de penser que défendre le dieu des chrétiens  se résume  à défendre l’âme de l’Europe et l’honneur de nos ancêtres. Le Christiannisme admet à sa table l’Islam et le Judaïsme. Les païens ne sont pas conviés au banquet des religions révélées. La démocratie est un sésame qui leur permet d’engranger des âmes veules et malléables en mal d’espérance. Non vraiment, inutile de parler avec des chrétiens. C’est perdre son temps. C’est comme parler à un possédé qui n’est plus maître de son libre arbitre, qui mortifie son esprit dans les artifices pour tenter de redonner vie à des supersitions qui ne se sont imposées que par l’intimidation, le chantage et la peur de l’au-delà. Le christiannisme  n’a plus qu’une seule vocation : justifier ses perpétuelles lâchetés dans un monde où les lions sont lâchés, et à l’occasion, se donner la part du lion quand les dos sont tournés. Mais ne leur en déplaise, rien n’est joué, car le présent a cette particularité d’être à jamais imprévisible. Rien n’est jamais gagné. Pour ma part, je préfère à une religion officielle moribonde, l’éternelle jeunesse de dieux qui survivent aux délires mystiques des âmes malades.

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