22/04/2011
La beauté
La beauté subsistait, retranchée sous le grouillement infernal des dehors trompeurs, effacée derrière les attraits cosmétiques de l’esprit sans âme, où le cœur à fleur de peau se prête à tous les maux. Le monde pouvait bien se voiler la face et se pâmer devant l’œuvre humaine du faire voir. Au delà d'une réalité contre-nature, les dieux n’étaient dupes de rien. Ne traversait le temps que l’œuvre achevée dont l’âme était empreinte, opérant à cœur ouvert dans l ‘émotionnel pied à terre de son autel parfumé.
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