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27/02/2013

Les allemands sacrifiés sur l'autel de cette Europe d'esclaves

En Allemagne, la population décroit avec un taux de fécondité le plus bas au monde. 

30 % des femmes allemandes restent sans enfants. Pourquoi ? Sans oublier qu'en Allemagne de l'Ouest, une mère qui travaille a mauvaise presse, on peut déplorer une faiblesse des infrastructures de garde dans  la partie ouest de l'Allemagne, avec des crèches en nombre insuffisant et beaucoup d'écoles fermant en début d'aprés-midi.  Or, de plus en plus de femmes travaillent (et de séniors), contre elles-mêmes.  A cause du solde naturel entre naissance et décés, la population décroit donc depuis 2003, à l'exception notable de 2011 où elle a cru à cause d'un bond de l'immigration. Et c'est bien là l'esprit stratège des hommes et femmes politiques intéressés à l'ouvrage de ce piège européen, plaque tournante de l'exploitation de l'homme par un système inhumain qui se donne bonne figure avec la prime au fourneau associée aux allocations.

En effet, le gouvernement allemand a annoncé ce mercredi 27 février 2013 qu'il allait faciliter d'avantage l'immigration de travailleurs hors Union européenne face à la soi-disante pénurie de main d'oeuvre qualifiée dans certaines branches. Prétexte fallacieux dont l'usage pratique et constant n'intéresse en réalité que le chiffre d'affaire en son temple.

Le piège est tendu, la pression à la baisse sur les salaires s'est trouvé une sainte vocation. La main-d'oeuvre étrangère est montrée comme salutaire, pas même remise en question par des chiffres du chômage en trompe-l'oeil. Les allemands, eux, continueront à travailler comme des bossus, en se délestant de cette incompatible maternité avec un marché du travail accapareur, et sans autre alternative que d'accepter leur disparition progressive sur l'autel du chiffre, temple de Merkel et CIE, au bénéfice d'une immigration de substitution, néanmoins exploitée elle aussi.

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