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24/07/2009

Allégeance canonique au service du convenable

Aucun homme, un tant soit peu scrupuleux, ne saurait accuser réception sans un gage certain de sa propre réflexion.

Aucun homme de conscience ne saurait considérer l’expression d’un interdit comme un gage de moralité, sans y voir le dessein de nuire à la vérité pour d’occultes raisons plus proches de l’intérêt.

Pourtant,

Aucun homme, de source bien informée, ne peut donner asile à son oasis dans ce flot de littérature submergée.

Aucun homme sagement éclairé ne peut dire à quiconque ce qu’il sait sans voir son avenir obscurci.

Au contraire,

Pire que l’institution du mensonge est le zèle militant du citoyen ordinaire dans la peau d’un farouche kapo avide des horreurs qu’on lui sert, spectre vivant du faiseur de guerre au nom d’un sentiment de paix galvaudé, et qui, trés satisfait de sa personne, s'en va la fleur au fusil brandir une morale toute faite à l'encontre du français de souche par trop français, jusqu'aux dirigeants étrangers par trop indociles, jugés impropres à l'image dont ils sont eux-mêmes le triste reflet.

L’homme aura t'il un jour la volonté de renouer avec son  libre-arbitre à défaut de s'en adjuger un qui sied bien à tous les vaniteux qu'essaiment nos systèmes.

En lui siège le plus fatal exemple de l’allégeance canonique au service du convenable, toujours plus contraignant et orienté au bénéfice des profiteurs d'une vaste OPA que l'on maintient en vie à coups de milliards gaspillés. Les manoeuvres d'appareils assiègent la liberté de pensée du citoyen lambda, intimidé par le ton grave de ses ténors. Au nom d'un Front Républicain, on porte le fardeau de s'allier aux vils coquins en plein gang-bang, de s'allier à un système qui ne veut pas mourir, et qui ne se donne aucune limite dans l'abjection pour perdurer.

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