05/05/2011
La CGT part en guerre contre le FN
"Le Front national ou l’imposture sociale". Derrière ce titre percutant, se déclinent onze pages d'un argumentaire adressé aux cadres de la CGT, pour tenter d’enrayer la montée en puissance du parti de Marine Le Pen.
On donnera la parole au peuple : Quelques commentaires sur le site Europe 1 :
-La CGT comme les autres n'ont pas compris que ce qui faisait un parti c'était les électeurs... Mais comme en France, personne n'osera jamais partir en guerre contre les électeurs et parce que c'est interdit... alors on préfère parler du front comme la vérole sur le clergé.
-La CGT s'en prend au FN pour raison de préférence nationale, qui d'après elle est immonde, alors qu’elle exige la préférence corse lorsqu'il s'agit de la SNCM.
-La CGT, bras armé de feu le PC va devenir de plus en plus sectaire, virulente, haineuse. Et c'est à chaque fois le cas, quand elle est réduite à la plus simple expression, c'est à dire "rien". Elle ne représente plus rien, et les cotisations s'envolent vers d 'autres cieux...
-Un syndicat qui soutient d’un côté des salariés surpayés de l’autre un courant d'immigration de personnes sous payées ce n'est pas décent alors qu'il y a des millions de chômeurs qui pourraient occuper ces postes s'ils étaient correctement rémunérés. Tout salarié doit pouvoir vivre de son travail. Là curieusement la loi du marché ne fonctionne pas. On augmente pas le salaire lorsqu'il y a pénurie.
-La réaction de la CGT démontre que les classes populaires sont attirées par le programme de Mme Le Pen…
-La décence m'interdit de dire ce que je ferais de ce texte...
-Ils s'aperçoivent que les ouvriers quittent les syndicats pour se tourner vers le FN , la faute à qui ?…..
On change pas le service!! Touche pas à ma soupe.....populaire!!
12:39 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
02/05/2011
Monsieur tout le monde, prolétaire petit bourgeois
Pétris d’une culture aux accents d’ouverture, rehaussé de vues idolâtres et de sages transports, le modèle petit bourgeois du prolétaire éduqué s’appliquait à susciter la convoitise de l’émule distingué. C’était ça l’esprit bourgeois et sclérosé où surnageait en état de lévitation apparente la grande masse des esprits surfaits. Au bout du compte, la désolation était effrayante, le vide émotionnel inouï, l’idéal absent. De tels échanges, rien ne subsistait. Rien qui ne fit tressaillir le cœur et rebondir l’âme. L’esprit s’était donné la mort dans le désert sans horizons où régnait l’illusion, là ou la joie de vivre cédait au besoin de paraître épanoui, au plaisir de se grandir, au bonheur de jouer les seigneurs.
11:46 Publié dans Faits de société | Lien permanent | Commentaires (0) |