27/07/2012
Paris, jongleurs et danseuses légères de Trenet
Paris, " très préoccupé " par la situation à Alep (Syrie), appelle à la fin des violences. Paris juge que le président syrien Bachar-al-Hassad s'apprête à "commettre de nouvelles tueries contre son peuple."
La France, merveille de duplicité comtemplative, s’inquiète et prie, l'arme à l'oeil.
La France, c’était avant, ses partiales implications sous couvert d'un humanisme de façade. Lorsque Paris sonne le glas d'un régime, il n'est pas autorisé à se défendre. Paris restera Paris.
14:08 Publié dans politique internationale | Lien permanent | Commentaires (1) |
Commentaires
Et les autres, ils massacrent qui ? Arrêtons cette hypocrisie : nous savons tous que les "rebelles" sont des combattants islamiques aidés par le Quatar, l"Arabie saoudite, la CIA (combien de "conseillers" sur place ?)... et tous les djihadistes. Du coup, Al-Quaïda est devenu le champion des libertés et de la démocratie... Pitoyable !
Écrit par : cepheides | 27/07/2012
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