28/03/2013
Le pape François a fustigé les prêtres tristes
Le pape François a fustigé les prêtres tristes, les appelant à redynamiser leurs messes pour combattre une "crise d'identité sacerdotale".
Révélation en ces temps troublés, l'Eglise ne supporte plus la morgue de ses prêtres. C'est pourtant pas un scoop !! Depuis l'avènement des hommes en noir (moines) dans l'Antiquité, la sombre éclipse n'a jamais laissé filtrer qu'une ennuyeuse superstition durant deux mille ans d'intégrisme moral.
N'est-ce pas pourtant ce pape qui a dit : "Les <lunettes> des larmes sont parfois nécessaires pour voir Jésus." Tous à vos mouchoirs !!
A la vérité, la sainte Eglise est par dessus tout déterminée à moissonner les âmes vulnérables. Elle a vocation à ne pas laisser l'actualité courir la misère du monde sans elle. Dans ce but, elle s'est en effet dotée d'un représentant du patron des plus pauvres d'entre les pauvres, sorti de son palais pour l'occasion. Triste ou pas triste ??
En ce jeudi 28 mars 2013, le pape François a lavé les pieds de détenus au centre de détention pour mineurs de Casal del Marmo, dont, pour la première fois, des jeunes filles. Cérémonie de Pâques inédite pour un pape qui ne demande qu'à faire des émules !!
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26/03/2013
Le FN félicite Cameron
16:13 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
25/03/2013
Le délit d'opinion où les recettes d'un régime en overdose
Lorsqu'une démocratie décrète qu'une opinion est un délit, elle franchit le pas qui la sépare d'une dictature. La liberté d'expression est l'âme de la démocratie. L'âme n'a pas à subir la loi des hommes au regard de leurs actes avérés ou rapportés. Si la sauvegarde de la démocratie doit nous conduire à tuer l'objection, elle est une tyrannie et une aberration. Lorsque l'esprit républicain confisque l'histoire afin de conduire la réflexion à l'expression d'opinions conformes et idoines, il entretient la terreur et la fracture. La démocratie n'est alors plus l'agora des hommes libres, mais une religion dogmatique qui retarde l'inévitable échéance d'une renaissance pour la croyance en l'absolue nécessité d'une fin en soi.
17:48 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |