04/07/2014
S’enfièvre entre tes doigts, mon âme nue magicienne
De ta nuit éprouvante, triomphe le sommeil
Tes yeux sont lune et clos quand le jour me réveille
Je vois par la pensée ton corps s’abandonner
En douceur, paix en l’âme, je lui prend un baiser
Comme doux alizé, je me glisse sous drap
Et voleur amoureux soupire entre tes bras
Je fais corps chaque instant de ta vie à la mienne
S’enfièvre entre tes doigts, mon âme nue magicienne
11:10 Publié dans poésie / Maxime Delettre | Lien permanent | Commentaires (0) |
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