05/07/2014
Point de feu à la peine en ce qui nous unit
En tes yeux l'infinie douceur dispensée
De ta bouche sensuelle les mots sont en fleur
Ta peau douce est d'encens, nue divine à cœur
Tes mains sur mes lèvres, mon âme enivrée
En toison je me fonds, féline et panthère
Ta nuque douce et chaude, élancée, altière
Bouscule mes sens esclaves en ton parfum
Mon corps sous hypnose est pendu à tes reins
Je respire ton effluve qui de toi me nourrit
Mon esprit sous ta flamme se consume, bougie
Se consume sans cesse et renaît à la vie
Point de feu à la peine en ce qui nous unit
13:12 Publié dans poésie / Maxime Delettre | Lien permanent | Commentaires (0) |
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