31/08/2011
Mr Mélenchon, l'attraction.
Mélenchon, le tribun du peuple. Rien de subliminal chez lui. Tout brut de forme. Sauf que.
Cela faisait longtemps.Nos gavroches bleu blanc rouge en rêvaient depuis la commune. La fibre contestataire du français bercé par le romantisme révolutionnaire bon enfant qui milite pour une économie sociale anticapitaliste afin de donner bonne couleur à son universel panache épris d’un humanisme jaloux et spéculatif. Le parti de gauche, rassembleur de la vraie gauche nostalgique et rebelle, gauloiserie puérile et sectaire, spartakisme à la française. La vraie gauche, tirée des vieilles théories mondialistes de la révolution prolétarienne, méprise la contestation identitaire. Contestation identitaire non moins anticapitaliste et social qui, loin de tout romantisme conceptuel, se heurte de front au déni de toute la classe politique, celle-là même qui renâcle à voir dans le communautarisme et ses conséquences tragiques, le résultat irréfutable de son idéologie irresponsable. Classe politique, parti de gauche compris, sont les auxiliaires de ce grand capitalisme qui promeut activement l’établissement programmé d’un multiculturalisme politique destiné à déconstruire afin d’instaurer la dictature économique pseudo sociale d’un monde sans attaches destiné à l'exploitation la plus honteuse des masses démoralisées.
Mr Mélenchon, porte drapeau de cette vision commune à tous les partis du système n’est donc que l’auxiliaire de ce grand capitalisme, avec ce petit côté sympa du tribun engagé aux ressorts biaisés, esclave des fantasmes propre au gauchiste inhibé. Ne sont que « misérables » les faux espoirs révolutionnaires qui ne s’attaquent pas aux vrais problèmes par confort, au nom des grands principes qui exonèrent.
12:02 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
30/08/2011
Sondage auprés d'un con pas comme les autres
Si vous dites que la liberté d’expression n’existe pas en France, cela signifie que vous émettez le souhait d’exprimer des opinions qui transgressent la légalité.
Donc, je répète ma question :
La liberté d’expression existe t’elle en France ?
Oui Monsieur !!
10:06 Publié dans Faits de société | Lien permanent | Commentaires (0) |
29/08/2011
Libye riche, plat de résistance pour puissances guerrières endettées
Je préfère un état non certifié conforme aux fausses démocraties ploutocratiques et endettées qui vampirisent les peuples et convoitent la richesse des pays non inféodés au système hypocrite de la main tendue, bellicistes à l’échelle de la dette.
16:00 Publié dans politique internationale | Lien permanent | Commentaires (0) |
11/08/2011
Les marchés financiers sont devenus fous
Article "20minutes.fr" :
10:44 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
05/08/2011
Dieu que le monde est... servile
Je me suis souvent abimé face à mes serviles bourreaux. Faute d’être comme eux, vous êtes indéfendable. Ceux qui sont serviles ont le pouvoir et aiment l’exercer avec zèle et sans risques, au plaisir de s’attacher les faveurs de ceux qui font profession de l’être. Vous n’avez alors d’autres choix que d’être en disgrâce. On vous dénie même le droit de revendiquer votre noblesse puisque celle-ci ne fait pas l’objet d’une reconnaissance officielle, et n’est donc pas signée et contresignée par des mains serviles.
Qu’à cela ne tienne, je n’admets pas que mon devenir soit à la merci de la bienveillance ou malveillance souveraine du jugement d’autrui sans être l'esprit maître, gouvernail en mains. A plus forte raison parce que la bienveillance est une putain respectable entre gens serviles. Afin de garder la maîtrise de mon destin, je me prête donc de bon gré à la malveillance naturelle de mes contemporains serviles. Je préfère et de loin ne pas avoir l’avenir doré si communément envié et rester propre, surtout aux chiottes quand personne vous voit. Mais lorsque le décompte des années vous presse de rendre un bilan, force vous est de constater que vous n’avez rien pour éveiller les jalousies. Ce bilan s’imprime alors en vous malgré tout. Inéluctablement, vous finissez par avoir la posture du perdant, par vous couler dans le moule contraignant d'un profil sans saveur, effacé, barré par l'excellence, ébloui par l'adversité magnanime de l'impudique candeur.
Qu’ai-je donc fait pour en être arrivé là ? Le moral est bon, merci. Il faut dire que je suis fidèle à moi-même, et à ma ligne, envers et contre tout. Partant, lorsque je me suis plu à donner du service, je l’ai fait en rejetant toute idée d’un échange en retour, ou d’un retour en échange. Associable ? Non, probe et indépendant. J’ai une haute opinion de moi ? Non, au contraire, mais juste avec moi-même, je n’ai pas à en rougir. Amère ? déçu plutôt!! Enfin, quand le moment fut venu, je m'en suis retourné vers ce que je n'avais jamais quitté, l’anonymat le plus entier, l’oubli le plus total. C’est ça ma vie de réprouvé qui n’intéresse que moi.
Et si je vous disais qu’avec tout ça j’arrive à être drôle ? Toute proportion gardée!! Il y a quelque chose qui ne colle pas n’est-ce pas ? Non, ça ne colle pas en effet, car je refuse que l’on me colle une étiquette. Trop facile de m'imposer l’image d’un triste sire aigri et amère en mal de reconnaissance. Celui qui va au front n’a pas la paix. Cela ne fait pas de lui une tombe!! Un soldat qui rentre du front doit-il avoir honte de montrer ses blessures ?
Dans l’absolu, je préfère vivre reclus dans mon inspiration, que vendre des best-sellers sans l’avoir. J'écris sur la toile, je jette mes feuilles au vent, je jette ma bouteille à la mer, je n'attends rien. Ca m'évite au moins les conversations insipides qui tuent l'esprit, pour seul désir de plaire!!
11:05 Publié dans Faits de société | Lien permanent | Commentaires (0) |
04/08/2011
Le divin, manifestation du sacré. Le sacré, invention des destins.
Le sacré excède la notion de Dieu. Dieu est une notion trop humaine.
Le divin, manifestation du sacré, conditionne les dieux qui en sont l’émanation. Les dieux sont l’émanation de cet existant sans formes qui donne formes à nos yeux. Le monde ne se limite pas aux manifestations visibles. Le monde est l’enfant du sacré au terme d’une longue gestation. Il n’est pas un objet des dieux. Les dieux ne sont que les manifestations évoluées de cette aube aux mille facettes.
Le monde n’est autre que la résultante de la rencontre fortuite des destins qui parcourent un néant riche en attentes.
Les grecs de la grande époque disaient « Les dieux même obéissent à la nécessité ». La nécessité n’est pour autant un principe premier qui pourrait s’appeler Dieu. La nécessité n’est autre que l’expression générique des destins. Les destins sont à la source où les dieux s’abreuvent. Les destins ont inventé le caractère sacré de leur raison d'être. Les hommes n’y ont vu que du feu !!
11:01 Publié dans religion | Lien permanent | Commentaires (0) |
Oslo et le FN : Ozon persiste et signe
Article "marianne2.fr":
10:56 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
03/08/2011
Peuples atones dans un monde obtus
Jadis, un état entrait officiellement en guerre contre un autre état. Désormais, grâce aux organisations internationales, on peut bombarder un ou plusieurs pays en se réfugiant derrières des résolutions. Le pire est que tout désormais fonctionne d’après le même schéma sous couvert d’une sémantique appropriée. Cabales au boulot, coups médiatiques et pilonnages en règles contre des hommes ou des mouvances à réduire, procès en sorcellerie et montages. Et que dire d’un système qui ne survit que grâce au relèvement du plafond de la dette et de chefs d’état qui creusent celle-ci toujours d’avantage pour sauver une dictature qui endette tout le monde au bénéfice de quelque uns. Ces quelque uns voteront bien sûr pour cette superpuissance autoritaire qui nous écrase tous pour la bonne cause. Mais les autres ? Qu’ont-ils à gagner dans ce vaste marché d’esclaves qui ne respecte même pas l’héritage du passé. Rien bien sûr. Mais pour ceux-là, on agitera le spectre du populisme qui menace la démocratie garante de nos valeurs humanistes. Ceux-là rentrerons à la niche d’où ils pourront continuer à aboyer. Le système a encore de beaux jours. Mais pour nos enfants, c’est sooooommmmmbre !! Leur avenir est sacrifié sur l’autel de l’économie. Mais en retour de quoi, ils seront citoyens du monde !! La belle affaire !!
14:08 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
01/08/2011
Mettez un cierge ou allez au diable
J’ai écris un ouvrage (2001). Oui et alors ? C’est pas fête nationale pour ça !!
J’en écrirais bien un autre, mais je vais pas me tuer à la tâche pour des fantômes.
Franchement, si j’osais être « Céline », juste le temps d’une phrase, je vous dirais bien des choses au point de m’emporter !!
Bon, je vous laisse une petite chance de vous racheter ?? Une once de dévotion, sinon allez au diable, et je suis plein de bonté pour vous....
Méditez sur ce gentil témoignage...Unique et seul...un sanctuaire..
Pour les autres, vous n'aurez qu’à lire le nouveau testament de Caroline Fourest.
La messe est dite.
15:02 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1) |