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02/01/2014

La fin d'une civilisation, et après ???

La publication des « Sélections sociales » du comte Georges Vacher de Lapouge (1854-1936), anthro­pologue français, théoricien de l’eugénisme et figure de l’anthroposociologie, a été le signal d’immenses recherches en France et à l’Étranger au XIXe siècle…. La découverte de Darwin s’appliquerait-elle au point de vue social comme à celui de la biologie ? En son temps, la question de la sélection était soulevée par les philosophes, les hygiénistes, les criminalistes, les anthropologistes, mais à propos de cas particuliers. A l'époque, on ne pendait pas "haut et court" pour des idées !! Peut-être devrait-on déterrer l'hérétique à cet effet ?? En effet, pour Vacher de Lapouge, le métissage n’empêche pas les races d’exister : "Le fait scientifique, en l’espèce, c’est que le mélange le plus compliqué n’empêche pas les races d’exister. Il les place seulement dans une situation particulière de latence temporaire, qui est justement la preuve la plus extraordinaire de la ténacité de l’hérédité".

Dr Bernard Plouvier : "Nous autres, Européens autochtones, vivons indéniablement une période de "fin de civilisation", qui ressemble à s’y méprendre à celle vécue par les contemporains de la fin de l’Empire romain d’Occident. Au Ve siècle, l’enrichissement général des citoyens de l’Empire romain avait conduit au relâchement de l’effort collectif et deux nouvelles religions moyen-orientales – la chrétienne et celle des adorateurs de Mithra – avaient supplanté le culte des dieux de l’État. De nos jours, la fraction la plus inventive de l’humanité contemporaine s’est lancée dans la course effrénée aux petites joies individuelles, au lieu d’œuvrer comme auparavant pour la collectivité.  Au Ve siècle, le pouvoir spirituel avait asservi puis anéanti la puissance politique. De nos jours, les maîtres de l’économie écrasent les autres pouvoirs... Consommer est devenu le but suprême de l’existence des individus, ce qui comble d’aise nos nouveaux missionnaires …"

"Cosmopolitisme", un mot qui, au XVIIIe siècle, à l’époque des Lumières, représentait le nec plus ultra : cela revenait alors, pour l’élite, à s’informer des autres cultures que celle de son pays d’origine. Aujourd’hui, le cosmopolitisme à la sauce mondialiste, au contraire, équivaut au mixage des cultures et au brassage des populations, de façon à liquider l’option nationale... Société mono-culturelle, multi-raciale et parfaitement artificielle, elle ne peut en aucun cas créer une civilisation stable, donc durable, ni innovante au plan intellectuel et spirituel (quoi qu'en disent nos professionnels du spectacle)... Les Européens de souche ont, par veulerie et par esprit de facilité, renoncé à la véracité de leur histoire. De la position de civilisateurs de la planète (on s'en serait bien passé !!), ils sont passés en un demi-siècle au statut de colonisés, achetant des produits de médiocre qualité et d’infime durée de vie, fabriqués le plus souvent en Asie, et se gavant d’une sous-culture élaborée aux USA et au Japon... On ne peut guère compter sur le milieu des universitaires, où règnent en maîtres le conformisme et le misonéisme, ni sur les médias, par définition aux ordres du Pouvoir."

La "Grande muette" comme on appelait l’armée dans le passé (et plus encore maintenant), s'applique également à toutes les corporations de la société française. Comme l’armée, le cœur et les poumons de la nation se gardent de déterrer l'idée qu’ils ont vocation à effectuer un véritable sacerdoce au service d’une terre et d’un peuple. La loi leur commande au contraire de confier l’avenir confisqué à un gouvernement élu par le jeu biaisé du parlementarisme aux ordres de Bruxelles. Chassez cet idée de mon esprit !! Jamais au grand jamais je n'ai esquissé la plus petite pensée de déroger à ce devoir impérieux d'obéissance à l'ordre et à l'Etat !!

(En vert, les mots choisis de mon fait, s'agissant de morceaux de textes empruntés)

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