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21/01/2016

Trahison, mode d'emploi d'un mot trop actuel

Trahison est un mot chargé du plus déplaisant effet. Si les faits parlent, le mot colporte. N’emploie pas ce mot en dehors de toi. Il incendie ton palais où le crime s’est produit. L’auteur des méfaits vole au dessus des flammes et ne cache pas sa joie de feindre le martyr. Il a fait usage de l’arme rougie de ton sang, et toi tu la montres à qui veut bien, afin d’être vu et compris. Le bûcher n’attend que toi si la foule a vent de ton hérésie…. Est hérétique le cœur chaud, là où glace règne. Le vent balaie jusqu’au moindre signe de la grâce aux initiales maudites. N’invoque pas le ciel quand tout n’est qu’abîme. Garde sur terre le point d’ancrage où l’amour a ses petits. Le carré de fidèles te semble plus petit que les grands espaces auxquel tu as prétendu. Mais il est une réalité, non un phantasme. Il est un sol ferme sous tes pas chancelants.. Il trouve sa dimension dans l’étendue salvatrice d’une nature désintéressée dont l’action est un don.

06:49 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0)

11/01/2016

La police suédoise reconnaît avoir caché une vague d'agressions sexuelles

La police suédoise reconnait avoir caché une vague d'agressions sexuelles

09/01/2016

Déchéance de la nationalité ??? ou roman feuilleton ??

Pour certains dévots de la France pour tous, la déchéance possible pour tous les français, autant dire l'amalgame illisible en tête d'affiche, est le garde-fou de l'égalité de tous devant la constitution...amalgame entre communautarisme en état de guerre et peuple générationnel en état de siège, béatitude à voir le monde à l'image de ses propres fantasmes. 
Caroline Fourest, pour qui personne ne comprend jamais rien sauf elle, est pour sa part, contre toute déchéance en trotskyste avisé, puisqu'elle même ne comprend pas le sens de l'ordre en tant que valeur positive, ne connait d'autre nécessité que bafouer la morale pour elle vulgaire, et s'approprie justice pour les besoins d'une cause tout juste féconde en milieu universitaire. Mais peut-être n'ai-je pas compris la subtilité de femme/serpent, dans le temple dévoyé où presse se prosterne.

Pour l'heure, le texte envisage une déchéance "possible" aux binationaux ayant acquis la nationalité. Pas d'apatrides même criminels, tel est la beauté restrictive d'une idée si grande et bien française, alliée à ses assortiments européens. La loi fixait déjà les conditions de perte de la nationalité. Perte / déchéance / quelle différence ??

De toute façon, cet effet d'annonce n'a rien de dissuasif pour des hommes et femmes  ralliés à l'emprise d'un djihad ayant pris corps, après incubation dans les laboratoires de nos banlieues explosives. Hommes et femmes qui méprisent la France, sa société, ses valeurs, ses symboles, et ce qu'elle peut avoir d'honorifique.

13:49 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0)