15/06/2023
Nouvel essai de Maxime Delettre
Nouvel essai pour mon sixième, je projette son édition pour 2024.
Toujours de belle facture, je me délecte en me relisant :)
J'espère bien déranger les critiques en me gratifiant d'un oscar
Tant pis pour ceux qui biberonnent à la notoriété
Pourvu l'inconscient roi soleil
10:45 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0) |
13/05/2022
Pas lu ?.... C'est mon dernier soucis :)
18:33 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0) |
02/07/2021
Par exécution, je n’ai plus de compte Facebook
Par exécution, je n’ai plus de compte Facebook. 3500 contacts en rupture de ban avec l’impropre connaissance d’une vérité bannie.
Après moult avertissements, je ne satisfais décidément pas à la charte pour dociles moutons.
Pourtant, je m’étais presque assagis. Mais, dans le collimateurs de la police de la pensée, plus rien ne m’était permis de dire, pas même ce que les plus timorés chroniqueurs feignaient de dire à la télé.
En réalité, j’étais dans le couloir de la mort depuis ma première garde à vue. J’étais dans la visée du sniper.
C’est autant de temps que je ne consacrerais plus aux autres, mais à la rédaction de mes écrits. Peut-être une bombe à retardement dans les écuries d’Augias, où Facebook faisait litière en seigneur de sa bauge malodorante ?
On ne tue pas ainsi le populisme, pour au contraire, lui insuffler vie.
Qui sait ce que le talent méprisé pour lui-même et ce qu’il diffuse, peut franchir d’obstacles impossibles avec le temps ?
Le talent excède par lui-même tous les camps d’internement de la bonne conscience au mirador.
La conviction forte n’est pas empêchée par les chars fleuris d’une reconversion à la soviétique.
Et tout le monde fait encore semblant de trouver ce monde en promotion, emblématique de ses libertés à l’affiche.
Mais on ne tue pas ainsi le populisme, pour au contraire, lui insuffler vie.
07:16 Publié dans littérature, politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
21/11/2020
Embarcadère pour un océan
09:18 Publié dans littérature, philosophie et politique, philosophie et religion, poésie / Maxime Delettre, politique, politique et religion | Lien permanent | Commentaires (0) |
10/10/2020
Maxime Delettre, auteur identitaire
18:53 Publié dans histoire, histoire et politique, histoire et religion, Immigration, littérature, littérature et politique, philosophie, politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
Publication de mon 4ème essai / Maxime Delettre
18:48 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0) |
30/03/2020
L'apôtre du néant / Les cruelles métamorphoses
00:27 Publié dans littérature, littérature et politique, littérature et religion, poésie / Maxime Delettre, politique, religion, spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) |
Pour que la vie continue, l'inconnu
00:17 Publié dans littérature, littérature et politique, littérature et religion, poésie / Maxime Delettre, politique, religion, spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) |
05/11/2019
Pour que la vie continue, l'inconnu
Pour que la vie continue, l'inconnu, 318 pages
...proposé à l'édition. Mon nouvel ouvrage !!
Bon, je ne m'attends pas à vos suffrages, mais enfin, je suis très heureux d'en faire l'annonce....Une bien belle réalisation.
Les deux précédents :
Plaisent aux dieux, les cruelles métamorphoses
L'apôtre du néant
Place au quatrième, en cours de rédaction.
Un jour, je serai en bonne place, reconnu comme une valeur sûre de la réaction. Quand un éditeur en éveil sortira vainqueur de sa coquille !!
Un jour, je serai en bonne place, reconnu comme une valeur sûre de la réaction
Retrouvez-moi sur facebook.com/MaximeDelettre0
21:11 Publié dans littérature, littérature et politique, littérature et religion | Lien permanent | Commentaires (0) |
13/10/2019
Je ne compose plus de textes de mon cru sur mon blog
Comme vous avez pu le remarquer, je ne compose plus de textes de mon cru sur mon blog. La raison en est que je me consacre à la rédaction d'ouvrages en lesquelles je mets toute la force vive qui m'anime.
En dépit de ce talent dont je revendique l'incomparable, le monde littéraire m'est farouchement fermé. Je suis impropre à leur bien-pensance. Mais plus l'on me bride, plus je lâche bride à l'esprit dont ils sont dénués. En novembre 2019, j'achèverai la rédaction de mon troisième ouvrage. Je n'ai de mots pour le qualifier, tant excelle mon aisance à dire, à la manière dont la lecture permet seule une approche réceptive.
Sur ce blog, je ne verse plus donc désormais que quelques points forts de l'actualité. Vous pouvez aussi me retrouver sur mon compte facebook :
facebook.com/MaximeDelettre0
Je déserte Twitter, pollué par ses notifications.
N'oubliez pas d'aller dans les archives de ce blog. Seules celles-ci vous permettent d'accéder à l'antériorité d'articles jusqu'en 2007. Vous avez également l'option par thème pour satisfaire votre intérêt ciblé.
10:52 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0) |
26/09/2019
Maxime Delettre, un auteur normand
21:27 Publié dans littérature, politique et religion | Lien permanent | Commentaires (0) |
11/07/2019
Maxime Delettre, un auteur contestataire à soutenir
Un bon parterre d'auteurs, c'est le prestige d'une réaction. Mais là encore, la solidarité en matière d'esprit ne joue pas !! On préfère se ruer comme des ânes pour dorer la pilule aux lèches-bottes primés. C'est plus tendance !!
https://metainfos.fr/2019/05/12/maxime-delettre-un-auteur...
https://maxime-delettre.webnode.fr/?fbclid=IwAR3w6A02-QXc...
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13/03/2019
Maxime Delettre, un auteur contestataire à soutenir
Un bon parterre d'auteurs, c'est le prestige d'une réaction. Mais là encore, la solidarité nationale ne joue pas !! On préfère se ruer comme des ânes pour dorer la pilule aux lèches-bottes primés.
Maxime Delettre, un auteur contestataire à soutenir
23/12/2018
L'apôtre du néant
Les écrivains du passé bénéficient des plus légitimes recommandations. Mais si l'on souhaite récolter des talents pour l'avenir, il faut savoir les encourager au présent.
Dans le flot actuel d'une littérature marketing, tout un chacun se plaît à relativiser la démarche d'écrire, comme phénomène de mode. Mais le talent est rare, et parce qu'il n'est pas rémunérateur, s'exile au débit de l'esprit.
Oser s'engager sur les voies politiques et religieuses les moins en vue, c'est aussi oser découvrir le don lorsqu'il s'exprime, grâce à l'inspirée volonté des dieux surgissants. Je ne fais qu'un bénéfice symbolique de mes ventes.
Seul l'esprit commande à mon sacerdoce.
14:48 Publié dans littérature, philosophie et politique, poésie / Maxime Delettre | Lien permanent | Commentaires (0) |
10/02/2018
Pour les passionnés d'une littérature d'exception !!
Comme Artémis chasseresse, la pensée française court la nature en quête d’esprits dans la poursuite de ses propres exigences. Sa flèche a percé mon cœur. J’y ai trouvé l’inspiration.
Maxime Delettre
Pour les passionnés d'une littérature d'exception !!
https://www.editions-maia.com/livre/les-cruelles-metamorp...
ou sur AMAZON.FR
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01/04/2014
C'est quoi le bonheur ??
Quand je regarde les étoiles, je me vide la tête. Ma pauvre tête !!
Quand je ferme les yeux, la nuit n’a pas d’étoiles. Un trou noir.
De ce trou, le jour me libère, mais je broie du noir et poursuis ma nuit.
C’est quoi le bonheur ?? Un réveil en fanfare. Une histoire à dormir debout. Un coin de chance dans un univers de rêve. Une savoureuse impudeur au caprice facile. L'exaltation d'un égo charmant en sa constellation.
18:43 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (4) |
01/06/2012
Le plagiat, un épouvantail à moineaux
J’ai pu me rendre compte à quel point les gens de plume s’inquiétaient de voir leurs créations plagiées sur le net. Je comprends leur angoisse. Loin de moi l’idée d’en faire critique. Nous sommes en effet la proie des vautours alors que les marchands à l’affût vous proposent en guise de protection, des services hors de prix et à mon sens inutiles. Seuls les ténors de la littérature industrielle tel BHL n'ont pas cette hantise. Mis à part le fait qu'il ne faudrait pas être exigeant pour convoiter leurs oeuvres, les penseurs fétiches des bobos branchés ont le piédestal à la hauteur des attentes épaisses. Les références institutionnelles ne craignent qu’une chose : Que leur absence de talent jure par sa présence au point de ne plus être tabou.
Aussi, je vous le dis tout net. Libérez-vous de cette grossière angoisse. La libre expression avec le monde qui nous entoure n’est pas compatible avec toute forme de revendication liée à l’égo. S’il en est pour vous subtiliser vos créations, cela n’enlève rien à vos pensées. Elles restent imprégnées de votre essence, de votre sensibilité, de votre style propre. Or, si vous avez du talent, vous êtes unique. Chaque expression, tournure, figure de style, témoigne de l' inimitable reflet de votre ADN méditatif, de votre présence singulière. Aucun esprit mal intentionné ne saurait prendre un de vos traits d'esprit sans être la proie facile du grand Apollon, dieu protecteur des arts, musagète et inventeur de la lyre à sept cordes. Même un homme habile ne saurait tirer profit de pareil larcin sans risquer le ridicule parmi l’élite des plus modestes. Je ne ferai pas appel à la conscience des natures avides de gloire grâce à l’usage de toutes les dissimulations ; ils n’ont point d’âme.
Je vous encourage donc à être aussi inimitable que possible, à pousser votre talent au delà des plaines infertiles où l’homme cultive un orgueil malséant sous les aspects surfaits d’une âme mal employée.
Et n’oubliez pas que vos œuvres sont à vous seuls. Rien ni personne ne possède la magie de pouvoir les faire évoluer extra muros, coupées de ce tout qui les identifient à l’âme mère. Faites les vivre. Ne les gardez pas cachées, livrez les à ce monde inculte. La pureté ne craint pas la souillure des esprits retors. Et puis, par dessus tout, réalisez que vivre c’est aimer. Que ferez-vous de ces élans du coeur aux fins dernières, lorsque vous ne serez que poussière. Vos plagieurs finiront poussière eux aussi. Que restera-t-il de leurs âmes fabulatrices, riches de toutes les impostures. Ad patres, point de bagages. Et au diable si la postérité ne vous rend pas justice. La justice n’existe pas. Mais en revanche, vous aurez aimé au delà du possible, et le monde des hommes ne vous aura pas empêché, ne vous aura pas dissuadé, n'aura pas eu raison de votre détermination, car vous êtes libre. Libre de défier la société des hommes qui vous relègue à de moins nobles destinations, société qui se flatte de prospérer sur les êtres timorés, forte de cette emprise sur vous.
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13/03/2012
KNUT HAMSUN
KNUT HAMSUN, de son vrai nom Knud Pedersen est un écrivain norvégien que j'estime beaucoup. De lui, j'ai lu et beaucoup aimé "Sur les sentiers où l'herbe repousse", qu'il a écrit à la fin de sa vie, "La faim", déchirant, et actuellement je lis "Victoria", tendre et émouvant. Je lirai ensuite "Femmes à la fontaine", "Esclaves de l'amour" et "Rosa". Mais il en a écrit bien d'autres, notamment "Pan", "Au pays des contes", "Aux portes du royaume", "Le jeu de la vie", "Crépuscule", "Le choeur sauvage", "Rêveurs", "Vie en lutte", la trilogie "Sous l'étoile d'automne", "Un vagabond joue en sourdine", et "La dernière joie", ainsi que "Au pouvoir de la vie", "Enfants de leur temps", "La ville de Segelfoss", "Le dernier chapitre", "Vagabonds", "August le marin", "Mais la vie vie/Mais la vie continue", "Le cercle s'est refermé", etc.........
A lire bien sûr "Les fruits de la terre/L'éveil de la glèbe" écrit en 1917, et qui lui a valu le prix nobel de littérature en 1920, à une époque où ça voulait encore dire quelque chose.
Son oeuvre est éminemment chargée en émotion. Tout converge vers cette idolâtrie grandeur nature pour l'amour vrai, sensibilité à fleur de peau d'un homme hors du commun. Point de grands mots, de pompe, restons simples. L'auteur n'apprécierait pas. Rien de plus à dire, il ne reste qu'à lire.
22:01 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0) |
05/01/2012
Charles Maurras disait ...
Le prodigieux épaississement des esprits depuis trois quarts de siècle de culture barbare amène une sorte de nuit tout à fait comparable à celle qui précéda l'an mil, tant les facultés de frémir et de sentir ont seules prévalu et crû !! Qui cherchera le sens des choses ? On ne veut plus qu'en être ému. Il n'est jamais question aujourd'hui que de sentiments. Les femmes, si brisées et humiliées par nos moeurs, se sont vengées en nous communiquant leur nature. Tout est efféminé depuis l'esprit jusqu'à l'amour. Tout s'est amolli. Incapable de disposer et de promouvoir des idées en harmonieuses séries, on ne songe plus qu'à subir.
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15/09/2011
Hommage à Henri Vincenot
Henri Vincenot est un écrivain à succès mais aussi un peintre et un dessinateur doué. Passionné par sa terre, par sa région qu'est la Bourgogne, il est à l'origine de superbes romans, chantant le réveil des identités régionales, des "patries charnelles". Ses deux principaux livres sont "Le Pape des Escargots" et "La Billebaude". Son tout premier roman, publié en 1953 : "Walther, ce boche, mon ami" , raconte l'histoire d'un jeune professeur d'histoire, Claude, qui, après la campagne de France et l'"étrange défaite" de 1940, rejoint son poste à Autun. Il y remarque rapidement un jeune officier allemand, Walther von Biesgheim, qui travaille exactement sur le même sujet que lui : les origines celtiques de l'Europe. Le traitement de ce sujet intéressant permet à Vincenot de louer longuement nos racines celtiques mais aussi de maltraiter certains mythes, notamment le mythe résistantialiste : "Cette nuit, j'ai rêvé. J'ai vu Satan. Il portait un bel uniforme, dont les éléments appartenaient à ceux des armées anglaise, française, allemande, russe, italienne, japonaise. C'était un très beau jeune homme au regard pur et droit. Sa voix était noble, respectueuse et douce, et il portait au bras gauche un brassard sur lequel est écrit le mot 'résistance' dans toutes les langues de la terre" (p 126).
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01/08/2011
Mettez un cierge ou allez au diable
J’ai écris un ouvrage (2001). Oui et alors ? C’est pas fête nationale pour ça !!
J’en écrirais bien un autre, mais je vais pas me tuer à la tâche pour des fantômes.
Franchement, si j’osais être « Céline », juste le temps d’une phrase, je vous dirais bien des choses au point de m’emporter !!
Bon, je vous laisse une petite chance de vous racheter ?? Une once de dévotion, sinon allez au diable, et je suis plein de bonté pour vous....
Méditez sur ce gentil témoignage...Unique et seul...un sanctuaire..
Pour les autres, vous n'aurez qu’à lire le nouveau testament de Caroline Fourest.
La messe est dite.
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22/04/2011
Contre-vérités
Les contre-vérités n'étaient pas mensonges à ses yeux. Elles n'étaient que l'expression d'interprétations point sujettes à caution. L'unique manière de voir se manifestait dans les réactions spasmodiques d'une sensibilité enlisée dans l'esprit morbide de ses contrefaçons.
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04/02/2011
Sarkozy a t'il consulté Céline ?
J'ai peut-être tort, mais une phrase de Nicolas Sarkozy à propos de Céline m'a époustoufflé :"Céline, médiocre médecin de banlieue" !! Est-ce à dire qu'un homme qui soigne les pauvres gens, bien souvent sans se faire payer, est forcément médiocre? Un patient a t'il été victime? Ou bien, parce que ce grand écrivain est décrié, ne lui faut-il trouver un petit côté raté socialement qui plaît bien à ceux à qui tout sourit? De la part d'une personnalité bien en vue dont l'ascension sociale n'est pas sans être une "notable" raison d'être, je trouve ça décalé!!
Au fait, Sarkosy est-il un bon président ??
Louis Ferdinand Celine en photo :
08:04 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0) |