30/05/2011
"SPA, un monde sans pitié"
On n’attente pas aux jours des criminels et pervers, paradoxe, parce qu’ils sont humains.
En revanche, les animaux de compagnie abandonnés, aimants et innocents, sont euthanasiés faute d’adoption.
Des choses comme ça qui font mal à l’âme !!
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SPA : Dons et legs / Profitent-ils à nos malheureux destinataires ?
11:21 Publié dans Faits de société | Lien permanent | Commentaires (0) |
25/05/2011
Le déni, un havre de paix
Je passe inaperçu au milieu des femmes. Quel bonheur de goûter aux joies du déni salvateur qui libère l'esprit de ses distractions futiles.
14:23 Publié dans petite phrase, idée sage | Lien permanent | Commentaires (0) |
24/05/2011
L'amour, lutte d'influence
L’amour est une mosaïque subtile au sein duquel le tact politique participe à l’équilibre. La rivalité est incompatible, mais en revanche, la manœuvre permet à chacun de préserver la souveraineté de sa personnalité, afin de ménager les ressentis d’une intimité préservée. L’objectif est bien évidemment l’établissement de frontières garantissant l’intégrité et le respect de l’un et de l’autre.
Point de superpouvoirs pour imposer un canevas de fait, mais deux territoires indépendants, libres et fusionnels.
Une seule règle : Le contact doit rester permanent. Point de fuites. Point de capitulations. Beaucoup de diplomatie. S’exiler à loisir vers d’autres cieux, pour d’autres sons, sous l’influence d’autres sens, ne conduit qu’à briser la lyre et détruire le seul pont empruntable de l'idéale relation. Par ailleurs, se soumettre à l’arbitraire d’une doctrine revient à laisser se créer pour la fin des temps la menace d’une tête de pont et l’invasion sans rémission d’une indiscutable domination.
Le rapport de force et la pacification, ou l’esclavage et la tyrannie, telle est l’alternative pour conduire l’attelage de l’amour.
L’amour et la joute ne sont pas en rupture de ban. Ils sont de la même veine, d'un même sang, fouettés à tous vents de tout temps, de tout temps en est faite l’histoire.
Il n’y a pas de couples sans histoires.
14:15 Publié dans philosophie, poésie / Maxime Delettre | Lien permanent | Commentaires (0) |
23/05/2011
Méropé
Méropé. Si ton étoile est moins brillante, ta lumière est plus douce à mes yeux. Par amour pour toi, je médite.Ton espace est enchanteur à la lueur de mon coeur. Tu as épousé le mortel en ton sein reccueilli, et, par la voie de l'esprit, mon âme pétrie s'est présentée à toi, nue et dépouillée de tous ses effets, enfin libérée.
15:09 Publié dans poésie / Maxime Delettre | Lien permanent | Commentaires (0) |
17/05/2011
A votre bon souvenir, la tolérance n'est pas chrétienne!!
Parole d'Apollon: pratique et tradition oraculaire dans l'Antiquité... Par Aude Busine:
Le recours aux oracles d’Apollon dans la « Philosophie des oracles » et dans la « Vie de Plotin » montre que Porphyre entreprit de faire des paroles du dieu une source d’enseignement philosophique dans un monde où l’autorité épistémologique et théologique se marque chaque jour davantage par le recours à un Livre. Dans ce contexte, l’auteur accorda aux textes divins très probablement un statut comparable à celui assigné aux logia bibliques par les chrétiens et les envisagea progressivement comme les fondements du savoir.
Ce livre a tenté d’interpréter les extraits oraculaires de la « Philosophie tirée des oracles », seuls reliquats de ce que les détracteurs de Porphyre ont bien voulu nous transmettre, à la lumière de la portée générale de l’ouvrage. Il s’est révélé que, loin d’être univoque, la lecture des oracles d’Apollon de l’auteur était, pour chaque extrait, déployée à plusieurs niveaux, dans lesquels Porphyre prend la parole tantôt en philosophe, tantôt en polémiste et critique de religion, sans qu’un aspect puisse être nettement isolé d’un autre. Ainsi, la réappropriation des oracles apolliniens dans la « Philosophie tirée des oracles s’opérait sur plusieurs strates interprétatives qui donnaient chacune aux oracles un statut différent.
Cet aperçu de la pratique exégétique de Porphyre est dépendant de la façon dont Eusèbe jugea bon de reproduire les fragments de l’ouvrage mençant pour la religion chrétienne. Gardons à l’esprit que c’est paradoxalement à partir de l’un de ses plus grands détracteurs, Eusèbe, que nous pouvons entrapercevoir quels oracles apolliniens ont été utilisés par Porphyre, dont l’œuvre entière était destinée à disparaître, et dans quelles circonstances furent commentés ces textes divins. Mais, faut-il le rappeler, la grande majorité des oracles apolliniens de Porphyre n’est connue que par le prisme de la critique eusébienne et, comme pour la partie visible de l’iceberg, il faut tenir compte de l’ampleur de ce qui a été perdu et de se souvenir à quelles fins polémiques ont été conservés les oracles d’Apollon chez Eusèbe.
14:50 Publié dans histoire et religion | Lien permanent | Commentaires (0) |
13/05/2011
Le pouvoir d'achat aux actionnaires
"Rétablir l'échelle mobile des salaires", autrement dit, indexer les revenus au cours de l'inflation. En d'autres termes, indexer les salaires sur l'augmentation des prix pour éviter la baisse du pouvoir d'achat. Cette mesure a déjà existé mais a été supprimée en 1982 par les "socialistes" reconvertis à l'économie capitaliste. Résultat : le pouvoir d'achat des salariés a fondu au profit de celui des actionnaires.
Les actionnaires aiment les socialistes!!
Débat FN / anti FN.Trés intéressant !! J'ai trouvé ça sur internet:
http://www.lepost.fr/article/2011/02/25/2417842_en-repons...
14:24 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
L'impératif de raison ou l'âme en exil
A l’exception du sage, les hommes et les femmes de l’ère prophétique ont eu besoin de raisons identifiables pour vivre et agir selon le code de l’âme. C’est pourquoi, lorsqu’a germé l’impératif de raison, la pensée nue s’est vêtue des oripeaux qu’on lui donnait. Consécutivement, elle ne se suffisait plus à elle-même. L’éclat du soleil dont notre ciel se glorifiait ne captivait alors plus la chaleur humaine censée pourvoir à son rayonnement. En l’espace d’un rien de temps, l’humain est devenu trop humain. Depuis cet avènement, l’impératif de raison ne quitte plus l’univers sur terre, plongé dans les chiffres et les mécanismes de son orgueil. C’est le lit de tous les maux, de toutes les contagions où l’homme demande tribut à l’âme. Ce règne de l’homme sur l’âme exige la reconnaissance de ses bienfaits, l’exposition de ses mérites, l’étalage de son adresse, ou bien encore la capitalisation formelle de ses exploits personnels sur sa propre condition. Il en va ainsi de l’homme talentueux dont le soucis intime est de ne pas se déplaire à la vue des autres. Rien ne freine plus alors l’ambition d’un homme plongé dans les ténèbres de son avarice, de sa morte conscience et de son absence de scrupules. Plus rien ne peut alors arrêter les mœurs redoutables de sa nature affamée.
Ainsi l’impératif de raison s’est érigé en maître incontesté ayant vocation à s’affranchir de l’âme. L’intellect a raflé la mise. A tel point que les hommes réceptifs à l’âme ne peuvent plus traduire leurs émois qu’à travers un mécanisme intellectuel pré établis sous forme de dogme. En définitive, l’âme est devenue inaccessible et les dieux sont devenus incompréhensibles. Dieu a raison partout où l’homme a décrété la religion à son image, dictée par le règne de son intellect revendicatif sous couvert d’une adaptation force soumission. La raison soumet alors le monde à son incontournable diapason, tribune au service de sa propre corruption sur l’autel renversé du spirituel moribond.
10:59 Publié dans philosophie et religion | Lien permanent | Commentaires (0) |
11/05/2011
Les lieux
Les lieux m'inspirent une vive émotion. Ils drainent un courant vieux de 3000 âmes, une aura de grandeur perdue, un foyer de présence accru, une infinité de sensations nues, l'intuition que l'infinité est là et nulle part ailleurs.
08:42 Publié dans poésie / Maxime Delettre | Lien permanent | Commentaires (0) |
09/05/2011
La bonté culte tue le spirituel
Loin du cœur, la bonté semblait avoir créé un nouveau monde où s’exprimait le ton monocorde d’une délicatesse ampoulée, janus féminin d’un conformisme bon teint, modèle original d’une forme empruntée à l’art consommé d’un faire voir mondain aux accents populaires. Cette attitude conventionnelle, rehaussée d’une culture culte intentionnelle, se présentait comme une toile figée dans un cadre virtuel, aquarelle dont les tons pastels momifiaient vivants tous les entregents.
Derrière cette bonté aux accents privilégiés, aucune espèce de flamme n’égayait les esprits de mon temps. Le rayonnement des âmes phares n’avait pas même la chaleur d’un boisseau mort en feu. Le spirituel, chauffé au bioéthanol, cédait au luxe fade d’une satisfaction personnelle à se hisser haut sur l’échelle d’une excellence aux normes bien actuelles, pleine de bonté envers les êtres moins pourvu que dénués.
10:12 Publié dans philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) |
05/05/2011
La CGT part en guerre contre le FN
"Le Front national ou l’imposture sociale". Derrière ce titre percutant, se déclinent onze pages d'un argumentaire adressé aux cadres de la CGT, pour tenter d’enrayer la montée en puissance du parti de Marine Le Pen.
On donnera la parole au peuple : Quelques commentaires sur le site Europe 1 :
-La CGT comme les autres n'ont pas compris que ce qui faisait un parti c'était les électeurs... Mais comme en France, personne n'osera jamais partir en guerre contre les électeurs et parce que c'est interdit... alors on préfère parler du front comme la vérole sur le clergé.
-La CGT s'en prend au FN pour raison de préférence nationale, qui d'après elle est immonde, alors qu’elle exige la préférence corse lorsqu'il s'agit de la SNCM.
-La CGT, bras armé de feu le PC va devenir de plus en plus sectaire, virulente, haineuse. Et c'est à chaque fois le cas, quand elle est réduite à la plus simple expression, c'est à dire "rien". Elle ne représente plus rien, et les cotisations s'envolent vers d 'autres cieux...
-Un syndicat qui soutient d’un côté des salariés surpayés de l’autre un courant d'immigration de personnes sous payées ce n'est pas décent alors qu'il y a des millions de chômeurs qui pourraient occuper ces postes s'ils étaient correctement rémunérés. Tout salarié doit pouvoir vivre de son travail. Là curieusement la loi du marché ne fonctionne pas. On augmente pas le salaire lorsqu'il y a pénurie.
-La réaction de la CGT démontre que les classes populaires sont attirées par le programme de Mme Le Pen…
-La décence m'interdit de dire ce que je ferais de ce texte...
-Ils s'aperçoivent que les ouvriers quittent les syndicats pour se tourner vers le FN , la faute à qui ?…..
On change pas le service!! Touche pas à ma soupe.....populaire!!
12:39 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
02/05/2011
Monsieur tout le monde, prolétaire petit bourgeois
Pétris d’une culture aux accents d’ouverture, rehaussé de vues idolâtres et de sages transports, le modèle petit bourgeois du prolétaire éduqué s’appliquait à susciter la convoitise de l’émule distingué. C’était ça l’esprit bourgeois et sclérosé où surnageait en état de lévitation apparente la grande masse des esprits surfaits. Au bout du compte, la désolation était effrayante, le vide émotionnel inouï, l’idéal absent. De tels échanges, rien ne subsistait. Rien qui ne fit tressaillir le cœur et rebondir l’âme. L’esprit s’était donné la mort dans le désert sans horizons où régnait l’illusion, là ou la joie de vivre cédait au besoin de paraître épanoui, au plaisir de se grandir, au bonheur de jouer les seigneurs.
11:46 Publié dans Faits de société | Lien permanent | Commentaires (0) |