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30/06/2011

Bourgeois et ouvriers, pour une certaine idée de la France

Les convictions socialistes des gens aisés est un réflexe social démocrate fondamentalement incompatible avec les intérêts des travailleurs. L’acceptation de la mondialisation est l’expression indiscutable de la trahison à l’égard du prolétariat. Défendre les intérêts des travailleurs en militant pour le développement de notre goulag international ultra libéral est la pire forfaiture. Il ne peut y avoir d’état providence dans ce contexte. Dans ce contexte, tout projet socialiste n’est qu’une entreprise d’intox. Le socialisme est une nébuleuse multiforme destinée à absorber toutes les contestations afin de les neutraliser. Leur conception de la négociation est stérile et courtisane, leur modération s’apparente à la lâcheté du démagogue, leur notion du compromis n'est que renoncement, et leur pluralisme n'a de raison d'être qu'en référence au nihilisme.

L’ouvrier s’est toujours fait dépossédé du fruit de ses actions détournées. Habiles relais, les syndicats ouvriers sont là pour y veiller!! Séduit par les chimères, le peuple français est incapable d’évoluer sans verser dans la lutte des classes. Pourtant, qu’on se le dise, tous les bourgeois n’ont pas la mauvaise idée de sacrifier leurs compatriotes au bénéfice de leurs intérêts propres!! Si le peuple ouvrier s’imagine pouvoir répondre au mépris d’une certaine bourgeoisie par son ralliement à une conception mondialiste de la contestation, il ne passera jamais entre les mailles du filet. Il doit se replier sur des bases où ses intérêts seront hardiment défendus contre la trahison, la spéculation et la course au profit. Le rétablissement des frontières est un préalable indispensable. L’ouvrier doit assumer cette revendication sans craindre les clichés péjoratifs qu’assène une gauche pseudo révolutionnaire inféodée à la dictature du mondialisme oppresseur.

L’ouvrier ne gagnera jamais seul. Le bourgeois doit rallier l’ouvrier afin de recomposer notre famille nationale. Si les coquins honnissent une alternative, c’est que cette alternative est la bonne.

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28/06/2011

Peur de dire et d'entendre

La peur de dire est omniprésente, dans toutes les têtes, et au delà, dans l’aura de chacun. Par les glandes sudoripares suinte la hantise d’être suspecté. Suspecté de mal penser, de laisser entendre ce que l'individu lambda rechigne à entendre. Contre toute raison? Non. Les fantômes aujourd'hui sont bien vivants. Le spectre s’attable en famille, chez les amis, en tout lieux, en toute occasion. La peur s’est imposée même et surtout chez les esprits libres. Ceux-là ont envie de dire et sont soupçonnés d’entrée de vouloir briser la quiétude endémique. La petite phrase qui vous damne, le silence qui vous dénonce, l’expression qui vous trahit, le regard qui vous compromet. Tout est passé au crible !! Si un début de preuve vous accable, votre ciel se couvre de nuages. Si vous n’avez pas peur, vous apprendrez à vos dépens qu’il est dans l’ordre des choses de se conformer au canon d’une matière à penser intangible. Il existe une mort très propre de nos jours, qui s’applique aux cas avérés. Pour ceux qui n’ont pas l’Amour en bouche, l’âme bien faite, le cœur en fête.

 

Nos ancêtres devraient voir ça!! Ils ne peuvent plus rien malheureusement pour les vivants. Pour les morts vivants. Mieux vaut n'en rien dire. Se taire est le gage certain d'une vie sociale réussie. Faut dire que quand le ciel vous tombe sur la tête, faut pas compter sur les gaulois!!

27/06/2011

Les bien-pensants

Les bien-pensants sont des convertis appliqués, bras séculier de l’esprit qui fait loi. Rien qui ne soit admis n'est en mesure de leur faire entendre raison!! Nous sommes un peuple d’individualités sous l’emprise d'un même système de pensée. Tout bon sens est un épiphénomène s’il n’est pas homologué par une figure charismatique de nos esprits dévoyés.

13:09 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | |

23/06/2011

La vérité, rien que la vérité

La vérité, rien que la vérité. Rien n’est plus cher à l’homme qui se forge un mental d’ouvrier. Pour réaliser l’unité d’un être entier, la liberté d’expression est le seul moyen et la seule réalité. Mais la liberté n’a pour elle que l’expression enflée et ce que l'on nous sert en est un pâle reflet. L’homme nouveau fuit la réalité pour sauver les apparences. Son image en impose à son esprit. Son indépendance est circonscrite à une conception bridée. Son mental se nourrit au cordon ombilical d'un ventre mou, et son caractère, superficiel, fantasque et inconsistant, se donne toujours de bonnes raisons de justifier un parjure, une fuite, un déni, ou une absence remarquée.

La réalité, c’est l’homme tel qu’il est, élitiste et dénué, dépouillé de lui-même et prévisible. 

Je suis maudit. Aucun être vivant n’est en mesure de satisfaire mon besoin de plénitude. De l’homme, j’ai une idée trop ancrée dans la réalité pour montrer l’enthousiasme bon enfant des esprits sevrés d’une pensée nourricière.

22/06/2011

Les dieux me manquent

Les dieux me manquent. Je reviens à eux dés que mon âme est en peine. Je les trouve beaux car ils montrent le chemin de la vertu, mais aussi du courage. Leurs caractères sont porteurs d’une diversité constructive qui a le mérite de n’être pas mielleux et mortifère. Ils ne sont tolérants que dans la mesure où le bon sens l’ordonne, et évoluent aux antipodes des fadaises évangéliques qui assomment et dénaturent les ressorts de l’homme si fragiles. Ils ont le mérite de ne rien promettre qui ne soit amplement gagné, et n’ont pas le pardon en bouche comme l’aurait un monarque aux pouvoirs arbitraires. J’aime leur ruse. Elle sied bien à ce qui est divin. Entendons le de la bonne oreille !! J’aime leur intelligence. Elle ne laisse pas d'empreintes. Elle n’est pas l’expression des aspirations humaines et ouvre la voie vers un monde invariable qui leur ressemble. Leur intelligence est toute portée vers un modèle de perfection qui n’obéit en rien aux vicissitudes trop humaines, aux critères conjoncturels d’une humanité en souffrance et livrée aux doutes sur elle-même et son devenir. Les dieux nous montrent leur majesté naturelle et sans fard, qui contraste avec le paradoxal dieu si grand et si miséreux que sert une église si riche, intransigeante, et de mémoire si persécutrice. Les dieux me manquent car, sous leur empire, l’homme ne revendiquait rien d’autre que d’être noble dans son cœur, loin des livres, au plus prés de l’âme, en l'absence de toute dictée.

L'impiété n'était pas appréciée, mais l'hérésie n'existait pas.

21/06/2011

Gentil peuple et toutous chiens

La France est une vitrine constituée de petits bourgeois prétentieux et stérilisés qui s'imaginent être l'élite d'un peuple subjugué par le mythe absurde de sa souveraineté. Fils à papa épris d'eux-mêmes, toutous chiens certifiés tenus en laisse, ils affichent leur impudique et indécente connivence, campés comme des culs terreux dans la bauge infect de leur esprit glaiseux.

10:13 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | |

20/06/2011

Creusons, creusons, la dette et notre tombe avec!!

Extrait d’un article de « leParisien.fr »

 

"Le coût journalier de l’opération Harmattan est estimé à un peu plus d’un million d’euros par jour. Le surcoût de la guerre en Libye, lié à la consommation des munitions et à la solde opex (NDLR : supérieure à la normale) attribuée à tous nos personnels projetés en Méditerranée ou à l’étranger, est déjà de 87 M€ en 80 jours d’opération », explique le général Pontiès, porte-parole adjoint de la Défense. Un surcoût d’autant plus difficile à assumer que l’Afghanistan coûte lui aussi déjà plus d’un million d’euros par jour aux contribuables français. Et ce surcoût devrait aller en augmentant avec la montée en puissance des forces françaises au large de la Libye. S’il n’y a pas de problèmes de munitions, certaines d’entre elles, qui ont été expérimentées pour la première fois, coûtent très cher. A l’instar du missile air-sol de dernière génération Scalp, dont le coût unitaire est évalué entre 500000 et 800000 € et dont onze exemplaires ont déjà été tirés contre les forces de Kadhafi. Autre indicatif, une heure de vol d’un Rafale est de l’ordre de 13 000 €. Au total, l’addition est plus que salée."

 

Note de bloggeur : Le chômeur et le smicard sont heureux d'apprendre la nouvelle !!

17/06/2011

Les mythes?? Pas une affaire de spécialistes!!

Il n'y a pas d'explications savantes aux mythes. Comme le sentiment de liberté, il ne répond qu'à l'âme affranchie de toute contingence humaine. Rien ne satisfait mieux l'esprit religieux qu'un sens profond du divin piqué d'une intelligence idéale.

J'en veux pour exemples (et il y en a une infinité) d'interprétations des mythes:

"Etre banni" signifie que l'on est amené à accéder à un autre chapitre de son évolution à des fins de purification.

"Venger ses frères" : signifie que l'on accomplie des actions nécessaires à l'aboutissement d'un cycle.

Lorsque "Zeus abuse de l'épouse du candidat", c'est pour signifier que le dit candidat a atteint le but (Zeus) qu'il s'était fixé dans la manifestation (manifestation = épouse, qui retient!!). D'ailleurs, Zeus revêt l'aspect du "cocu" (qui n'en est pas un!!) pour l'occassion, ce qui est éloquent!!

 Dans les mythes, la "fuite" n'en est pas une. Elle est au contraire et si l'on peut dire un "transport", une échappée. La fuite succède à un meurtre indirectement provoqué qui n'en est pas un. Le meurtre (indirectement provoqué) est l'expression d'une fatalité qui se rattache à  ce qu'on laisse derrière chacune des actions primordiales qui participent à notre détachement.

L'inceste n'en est pas un non plus. Il est bien-sûr montré comme une affreuse chose ici-bas, mais de façon allégorique, il est articulé pour témoigner d'un changement de nature.  Changement de nature qui n'en est pas un dans la mesure où cette idée est volontairement articulée pour signifier que l'on ne se situe plus sur un plan physique, mais déjà dans un monde spirituel et divin où la vue et la compréhension des choses n'est plus la même, où rien n'est plus en rapport. ("Oedipe se perce alors les yeux avec la broche de Jocaste")

15/06/2011

Douce France, le pays de mon enfance...

Fillette agressée et violée dans l'Ain - Le suspect était déjà recherché pour non respect du suivi socio-judiciaire.

Mercredi 15 juin 2011 : Pendaison publique d'un iranien dans une ville du sud de l'Iran pour le viol d'une fillette de huit ans a rapporté le site de la télévision d'état.

14/06/2011

Education, foire d'empoigne !!

Vivant témoin de cet enseignement de masse nivellateur et dirigiste, je n’ai jamais pu m’épanouir à travers une matière que je chérissais : Le français, sans être l’objet d’un mépris à peine dissimulé ou d’une dérision systématique. Mon prof avait à cœur de me considérer comme un individu lambda aussi banal qu’un élève peut l’être. Il s’appliquait à me donner des notes qui ne fissent de moi un élève distingué. En réalité, son égo avait eu raison de sa vocation. Chacune de mes analyses, chacune de mes interventions était ressentie comme un défi à la pointure de sa stature. Une cour féminine très courtisane s’appliquait à lui donner raison en minaudant à chacun de ses dédains. Au delà du scolaire, l'indifférence s'est plu en ma présence. Mieux armé, cette situation aujourd’hui m’indiffère. Mais je garde en moi l’amertume de ces années supposées tendres. Ce sont ces années tests qui font de vous un vainqueur ou un vaincu. J’ai dû prendre goût aux défaites !! J’ai pris l’habitude de me ranger volontairement du côté de ceux qui subissent le joug du puissant.

C'est pourquoi je ne crois pas aux bonnes intentions au sein des mêmes institutions. Les dites bonnes intentions n'ont pas pour finalité de valoriser les gens comme moi, ou d'aider je ne sais quel talent à voir le jour, mais plutôt, au grand dam des élèves discrets qui se rangent bien dans les rangs, d'assurer le suivi personnalisé d'un communautarisme militant impossible à gérer qui s'inscrit dans un rejet systématique de toute institution et de toute contrainte émanant d'une autorité établie, et qui s'invite à l'école et sclérose la vie en communauté. Ce problème ne justifie certes pas à lui seul tous les dysfonctionnements et ratages, mais le drame conjoncturel est que cet état de fait ne sera jamais nommément désigné afin de ne pas "stigmatiser". Pour autant, en ce qui concerne le corps enseignant, on ne saurait être insensible à la politique du pire qui les châtie si bien: suppressions de postes ainsi que pénurie de moyens!!

Appel à la grève le 27 septembre !! Nos enfants sont râvis!!

Pour faire des ânes, point de bergers!! Ceci dit, créer des postes ne résoudra pas tous les problèmes !! Le mal vivre à l’école c’est aussi le programme trop chargé, pesant, dirigiste. En ce qui me concerne, le carcan de ce modèle unique est rejeté non pour ce qu ‘il est : on se résigne avec fatalité à être gavé comme une oie sans passion!! Mais pour ce vers quoi il tend: Niveler par le bas, formater comme il faut. L’originalité est d'entrée recalée!! Par ailleurs, le décalage est énorme entre les prétendants au savoir. Il est certain que l’élève issu des quartiers sensibles n’accepte pas d’être formaté comme un collégien attentif à ses attaches. Il est un peu tard pour constater la désaffection voir le rejet du système scolaire, dopé par un phénomène d’entraînement, un effet de mode qui sert de modèle aux plus fragiles, à ceux qui sont moins bien accompagnés. Mal entouré, celui qui se distingue est vite montré du doigt !! Question de survie d’être alors à l’image du groupe!! Quant au corps enseignant à l'image du pouvoir en place, il est bien mal récompensé!!

10/06/2011

Le néant, maison des orphelins

Il m’est souvent arrivé de me demander la part de sentiments sincères enfouis profondément derrière les convenances, politesses, simulacres et trompe-l’oeil. Si, de la part d’autrui et à mon attention, il existe une petite lueur d’esprit qui touche à l’âme, suffirait-elle à éclairer la plus infime portion du néant ?

C’est pas moi qui le pense, c’est l’autre, celui qui vient du néant.

10:21 Publié dans philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | |

Justice sans parti-pris ?

Une ancienne résistante néerlandaise, âgée de 96 ans, a avoué le meurtre en 1946 à Leiden (ouest des Pays-Bas) d'un ingénieur dont elle était persuadée, à tort, qu'il avait collaboré avec les nazis pendant la seconde guerre mondiale.

Mme Ridder-Visser ne sera pas poursuivie, son crime étant prescrit.

Pauvre vieille dame!! On ne poursuit pas les anciens résistants. Même pour des crimes commis aprés la guerre. La légende ne supporterait pas pareil procés!!

En attendant, la victime est bien morte depuis 65 ans, et son meurtrier vit toujours sans être blâmée. Qui oserait lui faire tort? La conscience peut-être, 65 ans aprés!!

08/06/2011

L'amour, c'est divin!!

Il y a plusieurs façons de penser à tout ce qui a trait au divin. Soit croire en Dieu de façon à ce que rien d’autre ne puisse avoir l’indécence de manifester sa présence,

soit restituer aux mystères l’origine de leurs manifestations indépendantes et s’ouvrir aux émotions interchangeables.

Les hommes ne savent plus aimer avec la même intensité ce qui n’a pas vocation à être unique. Ils se donnent pour se perdre au delà du possible. Cet amour là interdit à la vie toute expression susceptible de distraire. Jaloux et despotique, il entend faire de l’existence une prison à la gloire de son exaltation. Cet amour là n’a aucun goût pour la poésie. Son expression est dans la loi. Sa promesse dans le salut.

Tant d'amour pour une poignée de terre!!

Je préfère m'en remettre aux dieux. Ceux-là ne m'ont rien promis. Je n'aime pas les promesses. Je n'attends rien d'eux. Je me contente de les pratiquer avec piété. Aprés, on verra!! La vie aprés la mort? Un espoir, non une promesse.

15:36 Publié dans religion | Lien permanent | Commentaires (0) | |