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26/06/2012

JULIEN / Contre les galiléens

JULIEN contre les galiléens : Contre les galiléens

 www.julianus.org/julian.htm : Autres écrits

17:06 Publié dans religion | Lien permanent | Commentaires (0) | |

22/06/2012

La pornographie, antichambre de toutes les déviances morbides

Extrait article "tempsreel.nouvelobs.com" :

Six collégiens dont cinq garçons ont été placés en détention provisoire, soupçonnés de viols et complicité de viols en réunion sur une autre élève de 13 ans à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), selon le parquet de Bobigny, confirmant une information du Parisien de vendredi.

L'adolescente aurait été violée à deux reprises, fin avril et fin mai, dans les parties communes d'immeubles du quartier populaire du Franc-Moisin à Saint-Denis.

Les cinq garçons, âgés de 14 à 16 ans, auraient participé au viol alors que deux jeunes filles, que la victime considérait comme des amies, selon le parquet, servaient de "rabatteuses".

Selon Le Parisien, deux des adolescents, qui auraient été les meneurs, étaient "imprégnés d'images de films pornographiques".

Saint-denis : six collégiens incarcérés - viol d'une adolescente 13 ans

21/06/2012

Alain Vidalies, Bruno Le Maire, les deux faces d'une même entente

Alain Vidalies, ministre chargé des Relations avec le Parlement, a estimé que les dirigeants du Front national ne devaient pas être reçus par François Hollande, quand celui-ci s’entretient avec les membres de l’opposition. Selon lui, on ne traite pas avec le FN « de la même manière que les autres ». Et le fait que le parti soit entré à l’Assemblée ne change rien.

La démocratie en trompe-l'oeil !!

Pour M. Vidalies, "ce n'est pas parce qu'à un moment donné une partie de l'opinion donnant son point de vue s'égare sur ce vote, qu'il faut y compris lui donner une réponse institutionnelle" et faire entrer le FN "dans le jeu institutionnel normal".

Les égarés du Front National apprécieront.

Quand à Bruno Le Maire : "Nos valeurs ne sont pas celles du Front National" : Voilà qui me rassure !! Le patriotisme n'a pas à se travestir pour les calculs d'intérêts d'un club dévoyé qui se décrète de plus actuelles vertus.

On n'est pas exclus parce qu'on est mauvais, on est exclus parce qu'Ulysse est craint des prétendants qui poursuivent Pénélope de leurs envies !!

11:14 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | |

15/06/2012

Roger Garaudy, figure trés controversée, est mort

Figure trés controversée du paysage intellectuel français, Roger Garaudy est mort. "Brillant orateur jouant de sa considérable culture et de ses allures de doux savant" (propos cités/le monde), député puis sénateur, il a été l'auteur d'une cinquantaine d'ouvrages, pour certains engagés. Titulaire de la croix de guerre 1939/1945 et de la médaille de la déportation et de l'internement pour faits de résistance, il n'en est pas moins un négationniste(=révisionniste) en puissance qui nie l'existence des chambres à gaz et le génocide hitlérien à travers son ouvrage "Les mythes fondateurs de la politique israélienne", ouvrage interdit en France et qui lui vaudra une condamnation. Ancien dirigeant du parti communiste français, il en est exclu en 1970 suite à la parution de deux ouvrages écrits suite à l'entrée des soviétiques en Tchécoslovaquie : "Peut-on être communiste en 1968 ? et "Pour un modèle français du socialisme". Né dans une famille athée d'ouvriers et de marins, il est hostile à tout athéisme rigide et veut ouvrir entre chrétiens et communistes de nouvelles perspectives de dialogue. Converti au protestantisme à 14 ans, puis au catholicisme à 57 ans, Roger Garaudy finit par se convertir à l'Islam à 67 ans en 1980. Sa popularité est grande dans les pays arabo-musulmans. Du Caire à Téhéran en passant par Beyrouth, Damas, Amman, le Qatar et les territoires palestiniens, il est accueilli avec égards. http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2012/06/15/mor...

13:33 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | |

Le français ou l'individualisme en pleine lumière

Le français est un personnage de roman, mais l’histoire nous en dresse un portrait plus réaliste qui s’affranchit des contes pour enfants.

Toujours divisés, individualistes et contradicteurs, les français n’ont jamais su constituer le ciment d’une unité considérée comme une sous-marque de fabrique. En cela, ils sont aidés par les systèmes et régimes qu'ils se sont choisis. Je ne parlerai pas des jeux d’alliances et mariages d’intérêt d’une monarchie imposée d'abords chrétienne pour la circonstance, mais principalement de ces rivalités incessantes dont la République est prodigue avec ce vice non dissimulé des belles pensées pleines d'arrières-pensées qui excusent toutes les manoeuvres et exactions.

Outre cette vieille opposition entre Catholiques et Protestants que l’on doit à la religion nouvelle, on notera bien d’autres divorces avant mariage auxquels la religion n’est jamais étrangère, et dont la République exploite une lecture nihiliste contre une nation incapable de tuer ses démons, éternellement revancharde et incapable de surmonter ses mécaniques oppositions. Opposition entre Bourbons et Orléanistes, Républicains et Monarchistes, Exploiteurs et Exploités, Dreyfusards et Antidreyfusards, Pétainistes et Gaullistes, Droite et Gauche, Nationaux et Mondialistes (et sa déclinaison Laïcité et Islam), avec cette nouvelle donne d’un citoyen du monde venu prêcher la bonne parole dans l’esprit figé et ringard des autochtones rétrogrades et consanguins.

Existe un facteur aggravant. La vertu s’excuse d’être vertueuse, et la lâcheté s’expose sans gène comme une toison d’or pour servir d’exemple à nos enfants, conditionnés sans relâche afin d’obtenir ce précieux sésame : le brevet de républicanisme.

Pour l’homme de convictions, il n’existe pas de diplômes et la République plaide l’isolement afin de ne pas affoler le poulailler des élites attachées à leur label.

12/06/2012

Sade contre les Amazones

Avec Sade (qui à l’échelle de la pensée humaine est un contemporain), on est très loin du cortège religieux de textes au symbolisme fort qui auréolent la relation homme/femme au temps des dieux d’Homère. Son œuvre littéraire est réhabilitée au XXème siècle malgré une censure officielle qui dure jusqu’en 1960, puis entre à la Bibliothèque de la Pléiade en 1990. Chez Sade (qui finira sa vie à l’asile d’aliénés de Charenton), la violence sexuelle n’est qu’une normalité (de son esprit dérangé). Elle se conforme au cérémonial des araignées. Il s’agit de soumettre absolument les femmes « aux caprices des hommes », de la même façon que le ligotement et l’anesthésie peuvent être quelquefois nécessaires à la fécondation des araignées. Puisque c’est « pour le bonheur de tous » que nous ont été « données les femmes », il ne s’agit que de les soumettre et d’établir des lois qui les contraignent de céder aux feux de (ceux) qui (les) désirent. La violence même étant un des effets de ce droit, nous pouvons l’employer légalement(…) ; la nature n’a-t-elle pas prouvé que nous avions ce droit en nous départissant la force nécessaire à les soumettre à nos désirs ? »Le rapport des forces est exigé par la survie de l’espèce et la violence virile est une condition de l’évolution, un instrument de sélection naturelle. Force est cependant de reconnaître que Sade a un caractère bien trempé et une plume assurée : « Ma façon de penser, dites-vous, ne peut être approuvée. Eh, que m'importe ! Bien fou est celui qui adopte une façon de penser pour les autres ! Ma façon de penser est le fruit de mes réflexions; elle tient à mon existence, à mon organisation. Je ne suis pas le maître de la changer ; je le serais, que je ne le ferais pas. Cette façon de penser que vous blâmez fait l'unique consolation de ma vie ; elle allège toutes mes peines en prison et j'y tiens plus qu'à la vie. Ce n'est point ma façon de penser qui a fait mon malheur, c'est celle des autres. »

Sade, on l’aura compris, ne s’est pas appesanti sur la complexe relation homme/femme. Le mythe des amazones en revanche, révèle, en désignant l’obstacle qui rend fou, la raison secrète de l’irréconciliable guerres des sexes :

Peuple de femmes guerrières, filles de Mars et d’Harmonie, les amazones se gouvernaient sans l’aide d’aucun homme. Elles châtraient leurs enfants mâles à la naissance pour en faire leurs esclaves et tranchaient le sein droit de leurs filles pour qu’il ne les gêne pas dans le tir-à-l’arc. Un jour, un prince éthiopien avait envahi le pays des scythes. Il avait fait tuer tous les hommes en état de prendre les armes, et tous les vieillards ainsi que tous les enfants, avec l’arrière pensée d’offrir à ses soldats les femmes des scythes. Ceux-ci les traînèrent à leurs lits, mais les femmes scythes caressèrent les éthiopiens…de leurs poignards. Et voici ce que les femmes décidèrent : elles resteraient libres comme le vent sur les libres landes, et ne seraient plus jamais asservies aux hommes. Jamais plus la voix grossière du mâle ne s’élèverait pour les régenter… Toutefois, pour maintenir leur population, elles auront recours aux mâles, mais à ceux seulement que la guerre leur aura livrés. « Lorsque la reine juge le moment venu de remplacer celles que la mort lui a prises, elle appelle à elle les plus belles de ses vierges (..Elle les réunit à Thémyscire, et dans le temple de Diane, elle prie Arès de bénir leurs jeunes corps de sa moisson (…). Alors le dieu révèle par la voix de la grande prêtresse un peuple chaste et farouche en lequel il s’incarnera pour elles. Et les fiancées de Mars – c’est le nom qu’on donne aux guerrières – sont armées, des mains de leurs mères, de flèches et de poignards. » Elles partent alors au pays indiqué, chasser l’homme comme un gibier, et elles ramèneront à Thémyscire les plus vigoureux que leur lance leur aura livré, pour « les plaisirs sans mesure et sans fin de la Fête des Roses »

Le secret de la guerre des sexes, écrit Christian David, c’est que la frontières des sexes « ne passe pas seulement entre les hommes et les femmes mais à l’intérieur même de chaque homme et de chaque femme ». Voyez Penthésilée : est-elle seulement cette jeune fille qu’elle paraît ? Non. Elle est « née des rossignols » sans doute, mais elle est aussi « cuirassée de peaux de serpents », et à la guerre, elle est si redoutable et cruelle, qu’elle semble une caricature de la virilité. Achille de son côté, n’est pas seulement le Farouche, le Terrible ou le Monstre empanaché que décrit la légende, il est aussi le Doux, le Charmant, et Penthésilée le compare, quand elle le croit son prisonnier, à « une jeune colombe dont un enfant entourerait le col d’un ruban… » Tout est fait pour bien nous faire comprendre à quel point l’hermaphrodisme originel est la clé d’un équilibre qui participe à l’harmonie universelle. Quand les amants, au hasard du combat, se trouvent face à face, leur confrontation nous permet de mesurer l’importance du transfert qui est possible des qualités d’un sexe à l’autre. Et c’est l’évidence de ce transfert qui les aveugle et qui les pousse au paroxysme de l’exaspération. Cette partie d’eux-mêmes qu’ils ne reconnaissent pas habituellement en eux est un défi à relever. En effet, Achille doit reconnaître l’aspect féminin que représente la face cachée de sa nature complémentaire révélée par la reine des amazones. Il doit rassembler les deux fragments nécessaire à l’être total s’il veut être à l’image des dieux. Cette nécessité est clairement exposée par Penthésilée : Celle-ci hurle sa rage de lui appartenir, rêve aussi de l’abattre : « Moi, moi seule ! J’abattrai le fils des dieux. Le voici le fer – puisque c’est avec le fer que je dois l’étendre – dont la caresse farouche va le coucher sur mon cœur sans même le blesser. »  Penthésilée souhaite alors mourir , et mourir de sa main : « qu’il vienne ! qu’il m’écrase la nuque de son talon de fer (talon d’Achille), je le veux. Pourquoi deux joues en fleur comme les miennes se sépareraient-elles plus longtemps de la boue qui les a formées ? – joues : nature homme/femme – qu’il me traîne jusque dans son pays – qu’il m’attache par les cheveux à la queue de son cheval ! Ce corps tout plein de vie fraîche, ah ! qu’il le jette dans le fossé ! Que le reniflent les chiens et qu’y fouissent les becs ignobles ! Poussière – oui – que je sois poussière ! – plutôt qu’une femme qui n’a pas séduit ! » (ceci pour signifier que les apparences trahissent une toute autre vérité)

C’est pourquoi, dés que l’un des adversaires est atteint et se trouve à la merci de l’autre, la puissance d’abandon du vainqueur se réveille et il peut alors écouter en lui-même ce désir qu’il ne voulait pas entendre. « Penthésilée, l’aile de la mort l’a touchée – elle a roulé à terre. Elle se tord dans la poussière – son sort est debout devant elle, chacun pense qu’il va lui donner le coup de grâce. Mais non ! il reste là, ce grec mystérieux, immobile, pâle comme la mort (…), ce grec incompréhensible, un dieu, dans sa poitrine cloutée de bronze, lui a soudain fondu le cœur d’amour. » De la même façon Penthésilée épargne Achille quand elle reprend l’avantage : « son cœur était jaloux de la poussière qui recevait son corps. »

En effet, on ne tue pas sa nature complémentaire, mais dans cette lutte perpétuelle contre soi-même, on la révèle et on lui rend un culte approprié.

Dans les rapports humains hommes/femmes de la vie courante, cette légende permet de mieux comprendre cette rivalité passionnée comme nous le démontre Alexandre Maupertuis : « Voilà donc ce qui explique l’aveuglement des deux amants sur eux-mêmes et qui empêche qu’ils soient jamais satisfaits : c’est la réversibilité de leurs personnages, ... Et c’est parce qu’ils refusent de la reconnaître, de l’admettre et de la vivre qu’ils se jettent « l’un vers l’autre, l’un contre l’autre – dans une écume de torrent – dans un entrechoquement d’étoiles ! » C’est pour l’acquisition et l’échange symbolique de ces qualités masculines et féminines (dont chacun d’eux déborde secrètement) que le meurtre de l’autre paraît à chacun d’eux nécessaire. Le conflit est insoluble parce qu’ils refusent de se considérer comme deux êtres distincts mais qu’ils n’acceptent pas non plus l’homogénéité de leurs structures. Parce qu’ils sont deux aspects contradictoires mais complémentaires d’un même personnage, et les deux fragments d’un être total sans pourtant qu’aucune fusion définitive leur paraisse possible (sinon la mort). Pour cela, ils continueront à se battre et à « mourir de leurs baisers », tant qu’Achille voudra nier en lui et tant que Penthésilée niera en elle cette féminité et cette virilité qu’ils se jalousent jusqu’à ce que les exigences de l’un et de l’autre se dissipent comme un rêve, après la mort d’Achille et le suicide de Penthésilée.

 

Texte en partie inspiré de la revue RUBIS (épuisée)

15:28 Publié dans religion, sexe | Lien permanent | Commentaires (1) | |

11/06/2012

Graffittis pro-nazis et antisionistes à Yad Vashem

Une douzaine de graffittis pro-nazis et antisionistes de prés de 2 mètres de haut ont été découverts lundi à l'intérieur de "Yad Vashem", le mémorial de la shoah à Jérusalem.
Parmi ces graffittis figurent des inscriptions à la gloire d'Hitler : "Si Hitler n'avait pas existé, les sionistes l'auraient inventé" et "Merci Hitler pour cette merveilleuse shoah, c'est uniquement grâce à toi que nous avons obtenu un Etat de la part de l'ONU", en référence à la création de l'Etat d'Israël en 1948, à l'issue de la Seconde Guerre mondiale. On peut lire également : "Les sionistes ont amené la shoah" et "Les guerres des sionistes ne sont pas celles du peuple juif"

La direction de Yad Vashem a évoqué la possibilité que ces actes soient le fait d'extrémistes juifs ultra-orthodoxes anti-sionistes.

http://www.liberation.fr/monde/2012/06/11/a-jerusalem-le-...

08/06/2012

Le Nouvelobs peste contre Pujadas

Le "Nouvel Observateur"/leplus.nouvelobs.com ne se remet pas de l'accueil de David Pujadas à Marine Le Pen. Peut-être ses chroniqueurs politiques lui préfèrent-ils je ne sais quel équarrisseur du type Anne-Sophie Lapix ou autre exécuteur sans talent. Il serait question de reprocher à ce journaliste de France 2 la démarche de légitimer les mots du FN. En effet, "leplus/nouvelobs ne veut pas que l'on parle de "vote ethnique" à propos de Jean-Luc Mélenchon en quête d'électeurs.

Dévastateur, Terrible sont les expressions qui caractérisent la rage du chroniqueur politique diligenté impuissant face à l'utilisation de termes de moins en moins tabous, et permettant de dénoncer des problèmes naguères occultés voir bannis.

Citons nos élites journalistiques puisque leurs propres mots sont des aveux. Ces mots témoignent de leur partialité, mais aussi et surtout de leur volonté délibérée d'interdire toute vérité qui déroge à leur ligne politique et éditoriale :

"Le choix de l'expression "vote ethnique" est un choix éditorial calamiteux....Il y avait mille autres façons de poser à Marine Le Pen la question sur ce sujet, à supposer que ce soit un sujet. (Ne mérite d'être traité comme sujet que les questions qui plaisent à ces messieurs!!) Par exemple : "faites-vous une distinction entre citoyens français selon leur origine?" ou bien "si des citoyens français d'origine étrangère, proche ou lointaine ne votent pas pour vous, c'est que vous leur faites peur, non?"(question sous forme d'accusation qui donne la réponse voulue sans autre forme de procés!!) 

L'aveu est d'autant plus cinglant (je cite): "Il y avait mille autre manières, mille autres mots, mille autres expressions, mais pas celle du "vote ethnique".

Et notre excellence journalistique de nous faire un petit exercice de style : "La question qui ne devait pas être posée en ces termes problématiques est couronnée, sacrée par la présence de cette incrustation." (Alors moi, je dis "chapeau bas" !!) Je cite encore: "Il est donc possible qu'il existe un "vote ethnique en France ? : Voilà la question qui est suggérée au téléspectateur et citoyen. Terrible.

Voilà mes amis comment le monde journalistique démocratico-marxiste ne supporte pas l'idée que l'on puisse vous suggérer quelque matière à penser qui soit de nature à vous faire réfléchir.

Du coup, tout journaliste qui ne bouffe pas du Le Pen est suspecté : Citons notre pantin encore et enfin: "A ce moment là, on se demande si le 20 heures de France 2 et David Pujadas pensent Le Pen, parlent Le Pen, même s'ils ne votent pas Le Pen."

L'expression "vote ethnique" / ou ce qu'il ne convient pas de dire !!

19:12 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) | |

06/06/2012

Le banquier remplace le patron sur le billot virtuel des jacobins sans culottes

« C’est le banquier qui est responsable de la crise, pas l’immigré » Nouveau slogan du parti de gauche et consorts. Hier le patron, aujourd'hui le banquier, un roman bien français destiné à ne jamais dépasser le stade de la lecture. Tant qu'il y aura des générations à abuser, la scène se répétera sans que jamais les tireurs de ficelles ne soient inquiétés par leurs marionnettes.

En effet, c’est le banquier attelé au char de son Europe mondialiste éradicatrice qui travaille à la déconstruction d’un monde jadis au chevet des nations souveraines. Instrument destiné à l’exploitation des masses sous couvert de lobbys évangéliques émancipateurs,  le mondialisme ne peut régner sans l'aval des partis sanctifiés par le banquier. Le banquier est pour le  moins le promoteur d’une immigration destinée à dissoudre l’identité nationale préexistente, mais il n'a la possibilité de capitaliser son modèle de société qu'en s'appuyant, voir en armant les partis qui ont pour vocation et mission principales de canaliser les révoltes en les maintenant sous le joug de leurs geôliers. Ne reste plus alors aux partis qu'à conduire les peuples à oeuvrer contre eux-mêmes au nom d'utopies aux mobiles inavoués et au bénéfice de leur chapelle.

La messe est dite. Tu peux médire du pape et ne surtout point attenter à la religion. Non seulement les voeux du dieu peuple ne seront jamais exaucés, mais la bonne conscience entre les mains du prêt à tout peut se permettre tous les excés au moindre coût.

09:14 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | |

05/06/2012

Mélenchon l'éradicateur fait dans la terreur

Extrait d'un article "lepoint.fr" :

Lundi, le leader du Front de gauche a décidé de porter plainte contre Marine Le Pen pour la diffusion d'un faux tract du FN sur lequel apparaît la photo de Mélenchon avec une phrase tirée de son discours de Marseille du 14 avril : "Il n'y a pas d'avenir pour la France sans les Arabes et les Berbères du Maghreb", ainsi qu'une phrase rédigée en caractères arabes. La présidente du FN n'a pas manqué de réagir : "Nous ne regrettons pas notre action ! Vous pouvez engager toutes les procédures judiciaires que vous voulez et procéder à des intimidations, mais vous ne parviendrez pas à cacher la réalité : vous pensez que l'immigration est l'avenir de la France. Pas nous !"

10:20 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | |

04/06/2012

Madonna, l'ange noir va de concert avec un monde sans aucune tenue

Madonna doit donner plus de 80 spectacles dans une trentaine de pays dont deux en France, le 14 juillet au stade de France et le 21 août à Nice. Personnalité emblématique d'une certaine débauche et provocation morale au service de ses insatiables ambitions, tout lui est bon pour  mener à bien ses conquêtes artistiques conditionnées à l'inélégance de ses allégeances les plus courtisanes. Sa marque de fabrique se caractérise par une entreprise d’altération rompue à l’avilissement et à la profanation de tout ce qui ne dessert pas les tendances délétères de son esprit aliéné. Fétichiste envers son inculte image en image culte, elle abuse de sa notoriété pour en faire une joute brutale dont la proie facile est absente de cette scène à grand spectacle racoleuse et névrosée.

C’est pourquoi, à l’occasion d’un concert Madonna s’est cru bien inspirée de gratifier ses fans d’un clip vidéo montrant un portrait de Marine Le Pen pendant quelques secondes avec une croix gammée sur le front en liaison avec un personnage composite ressemblant à Adolf Hitler.

La vidéo a été projetée sur la scène de Tel Aviv en prélude à la chanson "Nobody knows me", et fait partie de son "MDNA Tour". Osera-t-elle venir provoquer les français fidèles à Marine à l'occasion de ses deux spectacles en France ? Et Marine Le Pen de dire : "Si elle fait ça en France, on l'attendra au tournant."

On connaît bien notre âme soeur en la personne de Marine. Depuis quant  la star Madonna peut-elle se prévaloir de la mieux connaître  que ses compatriotes de coeur? En revanche, on connaît bien Madonna : "we know you for what you are".L'anathème ne témoigne pas de la vertu. Vertu dont elle n'est pas un symbole.

http://www.leparisien.fr/musique/concerts/madonna-contre-...

14:38 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (2) | |

01/06/2012

Le plagiat, un épouvantail à moineaux

J’ai pu me rendre compte à quel point les gens de plume s’inquiétaient de voir leurs créations plagiées sur le net. Je comprends leur angoisse. Loin de moi l’idée d’en faire critique. Nous sommes en effet la proie des vautours alors que les marchands à l’affût vous proposent en guise de protection, des services hors de prix et à mon sens inutiles. Seuls les ténors de la littérature industrielle tel BHL n'ont pas cette hantise. Mis à part le fait qu'il ne faudrait pas être exigeant pour convoiter leurs oeuvres, les penseurs fétiches des bobos branchés ont le piédestal à la hauteur des attentes épaisses. Les références institutionnelles ne craignent qu’une chose : Que leur absence de talent jure par sa présence au point de ne plus être tabou.

Aussi, je vous le dis tout net. Libérez-vous de cette grossière angoisse. La libre expression avec le monde qui nous entoure n’est pas compatible avec toute forme de revendication liée à l’égo. S’il en est pour vous subtiliser vos créations, cela n’enlève rien à vos pensées. Elles restent imprégnées de votre essence, de votre sensibilité, de votre style propre. Or, si vous avez du talent, vous êtes unique. Chaque expression, tournure, figure de style, témoigne de l' inimitable reflet de votre ADN méditatif, de votre présence singulière. Aucun esprit mal intentionné ne saurait prendre un de vos traits d'esprit sans être la proie facile du grand Apollon, dieu protecteur des arts, musagète et inventeur de la lyre à sept cordes. Même un homme habile ne saurait tirer profit de pareil larcin sans risquer le ridicule parmi l’élite des plus modestes. Je ne ferai pas appel à la conscience des natures avides de gloire grâce à l’usage de toutes les dissimulations ; ils n’ont point d’âme.

Je vous encourage donc à être aussi inimitable que possible, à pousser votre talent au delà des plaines infertiles où l’homme cultive un orgueil  malséant sous les aspects surfaits d’une âme mal employée.

Et n’oubliez pas que vos œuvres sont à vous seuls. Rien ni personne ne possède la magie de pouvoir les faire évoluer extra muros, coupées de ce tout qui les identifient à l’âme mère. Faites les vivre. Ne les gardez pas cachées, livrez les à ce monde inculte. La pureté ne craint pas la souillure des esprits retors. Et puis, par dessus tout, réalisez que vivre c’est aimer. Que ferez-vous de ces élans du coeur aux fins dernières, lorsque vous ne serez que poussière. Vos plagieurs finiront poussière eux aussi. Que restera-t-il de leurs âmes fabulatrices, riches de toutes les impostures. Ad patres, point de bagages. Et au diable si la postérité ne vous rend pas justice. La justice n’existe pas. Mais en revanche, vous aurez aimé au delà du possible, et le monde des hommes ne vous aura pas empêché, ne vous aura pas dissuadé, n'aura pas eu raison de votre détermination, car vous êtes libre.  Libre de défier la société des hommes qui vous relègue à de moins nobles destinations, société qui se flatte de prospérer sur les êtres timorés, forte de cette emprise sur vous.

11:58 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1) | |