30/05/2013
Tapie, l'enfant pourri gâté d'un cartel encanaillé
Tapie : dés qu'il roule (pour lui), il pollue l'athmosphère des français !!
Affaire Tapie / Bayrou et M. Le Pen mettent en cause Sarkozy
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27/05/2013
La tolérance du système est-elle à géométrie variable ??
Fête du PSG / Descente des jeunes de banlieues / Echauffourées / Dégradations / Vols
21 interpellations
Manifestation des anti-mariages gay / Extrême-droite / Echauffourées / Contestation
300 interpellations / 230 gardés à vue
La réflexion n'est même pas requise pour ce constat révélateur. Les embués du cerveau peuvent rester sur leur petit nuage si la redescente sur terre leur est si pénible !!
La dictature préfère le voyou qui méprise la France, au patriote révolté contre un système dont elle est la garde prétorienne.
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25/05/2013
La case de l'oncle Tom ou autre vérités occultées
Extraits de l'ouvrage de Dominique Venner : "Le blanc soleil des vaincus"
Introduction de l'esclavage :
La culture intensive du tabac...exige une main-d'oeuvre importante. Les indiens se refusent avec la dernière énergie à travailler la terre, besogne dégradante à leurs yeux. Quant à les réduire en esclavage, il n'en est pas question. Ils préfèrent mourir....Une solution provisoire est trouvée avec le système des "indentured servents", les engagistes des Antilles françaises. Ce sont des indigents, volontaires pour les colonies. Ils payent leur voyage moyennant un contrat de travail de quatre ans qui les transforme en esclaves temporaires. A la descente du bateau, ces hommes et ces femmes sont vendus aux enchères par le capitaine. Puis à l'expiration du contrat, ils deviennent libres, reçoivent un petit équipement et un lot de terre pour tenter leur chance. Des condamnés de droit commun, "convicts", peuvent bénéficier des mêmes "avantages", à cette différence près qu'ils sont liés à leur maître pour sept ans. Mais cet esclavage momentané est trop bref pour être vraiment rentable et trop maigre pour répondre aux besoins étendus des plantations...La solution scandaleuse à nos yeux, normale à l'époque, est apportée en 1619. Cette année-là, le secrétaire de l'assemblée de la Virginie note sur le journal de la colonie : "Un bâtiment hollandais nous a livré vingt Noirs d'Afrique."...L'importation du "bois d'ébène" est lente jusqu'à la fin du XVIIème siècle. La traite qui fait la fortune de Nantes, déverse en priorité ses cargaisons dans les Antilles...Tout changera lorsque les armateurs du Nord auront évalué les bénéfices à tirer de cet odieux trafic. L'or étouffera les scrupules. Les négriers puritains lèveront les yeux vers le ciel. Ils oublieront leurs principes d'universelle égalité et leur croyance dans le caractère rédempteur du travail libre. L'argumentation calviniste a réponse à tout. Elle propose le syllogisme suivant : le seigneur bénit la richesse. La traite est le moyen le plus rapide de s'assurer la richesse. Donc le Seigneur bénit la traite...Certes, les Justes de la Nouvelle-Angleterre ne sont pas à une hypocrisie près, mais l'esprit puritain ne s'oppose pas encore à l'esclavage des Noirs. jusqu'à la fin du XVIIIeme siècle, celui-ci apparaît à tous comme une institution légitime. Il ne soulève aucune réprobation et le Nord importe lui aussi, dans une moindre mesure, des esclaves Noirs...Le Nord est habité par cet homme de Dieu qui a passé un contrat avec le Ciel pour réussir sur la terre. En échange du rigorisme de son existence, il attend de Jéhovah qu'il favorise ses affaires...
+[sectarisme au Nord] Les Etats de la Nouvelle-Angleterre sont soumis à la tyrannie des sectes religieuses et de leur clergé. On persécute les dissidents. A Plymouth, on les met à mort. On brûle les "sorcières" ou on les pend. L'affaire des sorcières de Salem (pièce d'Arthur Miller) est l'illustration du climat d'obsession que font régner les puritains. En 1629, ces derniers ont fondé dans cette ville du Massachusetts, la première église congrégationniste d'Amérique. Leur fanatisme nourrira la folie collective qui s'empare de la bourgade en 1692. Du mois de mai au mois de septembre, dix-neuf personnes sont pendues comme adeptes du Malin, dont quatorze femmes et cinq hommes. Une vingtième est mise à mort suivant une méthode plus originale, celle du "pressage", c'est-à-dire qu'on la place dans une situation d'un citron dont on extrait le jus. Deux autres périssent en prison sans doute pas par excès de bons traitements. Plus d'une centaine d'autres malheureux sont emprisonnés et, pour faire bonne mesure, les pasteurs congrégationnistes en font encore inculper deux cents pour crime de sorcellerie.... Les planteurs n'ont que mépris pour le sectarisme et l'intolérance de ces puritains, dont l'adresse en affaires frise la canaillerie. Un virginien écrit en 1736 : "Les saints de la Nouvelle-Angleterre sont fort habiles à avaler un parjure au point de n'en pas garder le goût dans la bouche, et aucun autre peuple ne sait glisser comme eux à travers le code."...+
Jusqu'alors, les ressources principales de l'aristocratie des planteurs étaient l'indigo et le tabac. La culture de l'indigo avait périclité aprés l'indépendance des Etats-Unis, faute de la clientèle anglaise, tandis qu'une invasion de chenilles détruisait les plants. Le tabac avait également souffert de la bouderie anglaise, mais peut-être plus encore de l'épuisement des sols. Des plantations se tournèrent vers la culture intensive du blé et du maïs qui n'exigeait pas une main-d'oeuvre abondante. Avant que la culture du coton n'eût pris le relais, il y eut donc au début du siècle un excédent d'esclaves dans les vieux Etats de la côte atlantique. On en vint à contester le rentabilité de l'esclavage et, sous l'influence des idées philanthropiques à la mode, un mouvement en faveur de l'émancipation se développa dans le Sud. Washington affranchit ses esclaves avant de mourir et, s'il ne s'était trouvé brusquement privé de ressources, Thomas Jefferson aurait agi de même. Ce mouvement fut de courte durée. L'institution qui semblait moribonde connut, tout à coup, un regain et une vigueur imprévisibles avec la demande énorme du royaume du coton, et le renouveau de la culture du tabac grâce aux techniques d'enrichissement des sols mises au point par le virginien Edmund Ruffin. Le formidable développement de la culture du coton fouette toute l'économie du Sud....Or, si le coton est produit dans le Sud, c'est à New York que se tient son marché. C'est là que sont fixés les cours... Enfin, les tarifs douaniers qu'impose le Nord pour protéger ses manufactures contre la concurrence européenne ne profitent qu'à lui et ne coûtent qu'au Sud. Par ailleurs, l'industrialisation naissante du Sud est brisée par un dumping systématique des industriels du Nord. "Le Sud est pour le Nord la plus belle colonie qu'aucun pays ait jamais possédée", fulmine Barnwell Rhett, directeur du Monitor de Charleston...Le Sud dépend du Nord pour toutes ses fournitures...Pour beaucoup de Sudistes, il ne fait pas de doute que cet état de sujétion où ils sont tombés est le fruit d'un vaste complot ourdi par les rapaces affairistes du Nord...En outre, les Sudistes sont désormais une minorité au sein de l'Union, et une minorité de plus en plus faible, car l'émigration européenne vers le Nord ne cesse de grandir. Au Sénat, la situation se dégrade également. Jusqu'en 1850, l'équilibre est maintenu. Mais l'admission de la Californie en 1850, du Minnesota en 1858, de l'Oregon en 1859 et du Kansas au début de 1861 donnera au Nord trente-huit sénateurs contre trente au Sud. La création prévue pour l'avenir de futurs Etats du Nevada, du Colorado et des Dakota concéderait à l'adversaire nordiste une irrémédiable suprématie. C'est à ce moment critique que la question de l'esclavage devient brusquement une question politique majeure et transforme le conflit des deux sociétés en véritable guerre de religion.
Situation des Noirs dans les plantations :
La poésie de l'écrivain William J.Grayson dans son poème "Hireling and the Slave", publié en 1854, brosse un tableau idyllique de la vie des Noirs dans une plantation du Sud. A l'opposé, les ouvrages des abolitionnistes présentent l'esclavage comme une monstrueuse tyrannie. Les planteurs sont cupides et sadiques, brutaux ou dégénérés. Les Noirs sont martyrisés avec des raffinements de cruauté. Une littérature pléthorique évoque les supplices affreux auxquels ces malheureux seraient soumis. On décrit avec une complaisance suspecte les visages marqués au fer rouge, les corps frappés avec des fouets munis de billes de plomb, les chiens féroces spécialement entraînés attaquant les Noirs, sans oublier de graveleuses allusions aux outrages subis par de graciles esclaves.
Le monument du genre est "La Case de l'oncle Tom", publié en 1852, par Mrs. Harriet Beecher-Stowe. Cette épouse d'un professeur de l'Ohio n'a jamais vécu dans le Sud. Sa source principale est un pamphlet abolitionniste publié à New York en 1839, rempli d'erreurs et d'invraissamblances. Ce roman écrit sans talent utilise néanmoins avec une certaine habileté toutes les techniques de la littérature sentimentale. Il fera pleurer tous les Margot du Nord et celles d'Europe. Il existe peut-être dans le Sud des personnages décadents et efféminés comme son Augustin Saint Clare, ou des brutes comme Simon Legree. Mais ils ne sont nullement représentatifs du monde des plantations. Promis à un énorme succés et à des traductions dans toutes les langues, ce livre soulèvera l'indignation et la colère du Sud....Ce qui est certain, c'est que le succés de "La Case de l'Oncle Tom" dans le Nord n'a pas accru pour autant la sympathie pour les Noirs. On y pratique une ségrégation de fait (Les exemples ne manquent pas, page 53 du livre précité). La ségrégation que recommande Abraham Lincoln (futur artisan de l'émancipation), comme la plupart des abolitionnistes, ne pose aucun problème à cette époque dans le Nord.
Les plaidoyers du Sud et les réquisitoires du Nord fournissent deux interprétations partiales et contradictoires qu'il est difficile de ne pas récuser. Heureusement, il existe des témoignages moins partisans, ceux par exemple de voyageurs ou d'étrangers ayant séjourné au Sud sans épouser les querelles qui déchirent l'Union.
"Comme beaucoup d'autres choses, remarque le prince Achille Murat, devenu citoyen américain après Waterloo, l'esclavage vu de loin a une tout autre physionomie que vu de près. Ce que la loi a de dur est adouci par l'usage. Les abus s'entre-détruisent et ce qui est horrible et monstrueux en théorie devient souvent parfaitement tolérable en pratique."
Un voyageur écossais, Charles McKay [Life and Liberty in America (1859)] qui séjourna au Nord et au Sud avant la guerre de Sécession, a laissé des impressions piquantes sur l'attitude comparée des deux sociétés vis-à-vis des Noirs : "Dans le Sud, écrit-il, le propriétaire d'esclaves ne semble pas avoir la moindre objection à se trouver tout près de n'importe quel Noir, jeune ou vieux, homme ou femme. En revanche, les hommes du Nord qui parlent tant de liberté et d'égalité politique retroussent dédaigneusement les lèvres à la moindre possibilité de contact avec un africain. Dans le Sud, le Noir peut sans scandale prendre l'omnibus, son voisinage n'effraie ni ne dégoûte les Blancs. Quant à l'esclave fidèle, il reçoit le titre familier et affectueux d' "oncle" ou de "tante". Si les Etats du Nord et leurs habitants témoignaient aux Noirs la moitié ou le quart de la bienveillance sociale qui leur est témoignée dans le Sud, le problème de l'esclavage serait grandement simplifié. Mais étant donné que les habitants du Nord parlent des droits politiques du Noir tout en l'opprimant ou le rabaissant socialement, leurs discours anti-esclavagistes ont un relent d'hypocrisie et de fausseté....
C'est ce que Carlyle traduit en une boutade grinçante : "Le Sud dit au [négro] : -Sois esclave, mais que Dieu te bénisse! Alors que le Nord grommelle : -Sois libre, mais que le diable t'emporte!"
En 1816, des planteurs de Virginie, du Maryland et du Kentucky fondent l'American Colonial Society afin de rapatrier les noirs en Afrique. En 1822, la société crée à cet effet le territoire du Libéria, sur la côte occidentale de l'Afrique. Le Congrés vote une subvention de cent mille dollars. En dépit des efforts du président de la société, un neveu de Georges Washington, puis de Henry Clay, cette tentative de régler le problème de l'esclavage des noirs connaît un échec complet. On dépensera la somme astronomique de 1806000 dollars pour transporter au Liberia 10500 esclaves affranchis, moins que le chiffre des naissances de la population servile en un mois. La cause principale de l'échec est la répugnance des Noirs à retourner en Afrique. Les affranchis veulent jouir de leur liberté en Amérique, quant aux esclaves, ils préfèrent la sécurité de leur condition servile à l'imprévu africain.
Enfin, il faut savoir que la grande majorité des blancs du Sud ne se sent pas directement concernée par l'esclavage, puisqu'il y a seulement 350000 familles du Sud propriétaires d'esclaves sur les 1800000 familles du Sud...En revanche, ces mêmes blancs s'inquiètent de ce qui se passerait si les abolitionnistes triomphaient. A Frederick Olmsted qui lui demande si beaucoup de gens de sa région considèrent l'esclavage comme une calamité, un pauvre blanc du Sud répond : "Oh oui! beaucoup. Je pense que la majorité des gens seraient très contents si on pouvait se "débarrasser" des [négros]. Mais elle n'acceptera jamais qu'on les libère et qu'on les laisse ici. je ne connais personne pour ainsi dire qui soit pour cela. Si on les libère et si on les laisse ici, ils se mettront à tout nous voler. Plus personne alors ne pourra vivre ici." (cité par Jean Heffer. Spécialiste d'histoire économique et d'histoire des États-Unis. Directeur d'études à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales de 1985 à 2002, il y a dirigé le Centre d'études nord-américaines.)
En Caroline du Sud, Alabama, Mississipi et Louisiane, le recensement de 1850 montre qu'il y a environ un Noir pour un Blanc, exactement 1664197 Noirs et 1806406 Blancs. Dans certains comtés, les Noirs sont en majorité...Tous les sociologues reconnaissent que cette proportion de 50/50 est beaucoup trop forte pour permettre l'entente et la tolérance mutuelle "en l'absence d'une institution contraignante".
La rivalité entre le Nord et le Sud accentué par cette malédiction de l'esclavage, débouchera sur un conflit qui durera 4 ans. Ce sera le plus sanglant de toute l'histoire américaine. Les pertes seront supérieures d'un tiers à celles des Américains durant la seconde Guerre mondiale, 618000 contre 407000, pour une population sept fois moins nombreuse. Le génie militaire du Général Lee, la fougue de Stonewall Jackson ou de Beauregard, l'audace des forceurs de blocus, la témérité des raids de cavalerie, l'héroïsme des femmes sudistes ne pourront rien contre la supériorité écrasante du Nord et sa volonté de conquête. Le Sud, moins peuplé que la Suisse d'aujourd'hui, succombera sous le nombre.
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24/05/2013
Manuel Valls envisage une interdiction du «Printemps français»
[Mariage pour tous]
Dans un communiqué publié le 21 mai, le Printemps français appelle à «une nouvelle résistance» face à une loi qui irait «contre les lois de la biologie et contre tout sens commun». «La France est actuellement soumise à des forces qui veulent l’asservir entièrement. La bataille ne fait que commencer. Elle se prolongera jusqu’à la victoire.»
Le printemps francais/communiqué post promulgation-18-mai-2013/
Les autorités vont «étudier» une interdiction du «Printemps français». Manuels Valls : «Nous allons l’étudier parce que ces propos sont inacceptables»
Porte-parole du Printemps français, Béatrice Bourges s'est dit "sidérée par les propos de Manuel Valls" et se demande "ce que le ministre de l'Intérieur veut interdire puisque le Printemps français, c'est plus un esprit qu'autre chose. Le mouvement n'a même pas de statut." Si une telle démarche devait être entreprise contre son mouvement, "cela ne fera que le renforcer car cela prouve que nous entrons vraiment en dictature."
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Stockholm victime de violences et dégradations
Quatre nuits de caillassages, incendies et dégradations à Stockholm dans les quartiers de banlieues à forte population immigrée (15% de la population !!). Les débordements ont été déclenchés en raison de la mort d'un habitant de ces quartiers par la police qui plaide la légitime défense.
La Suède pacifique et égalitaire cherche à minimiser les violences pour sauvegarder son image de mauvais élève d'une Europe d'autorité cosmopolite. Elle est devenue comme la France et la Grande-Bretagne une destination prisée des immigrants en Europe en accueillant ces dix dernières années des centaines de milliers de personnes venues d' Irak, d'Afghanistan, de Somalie, des Balkans et de Syrie.
Le premier ministre conservateur Fredrik Reinfeldt, fervent partisan de l'accueil des immigrés, a voulu donner devant le Parlement l'image d'une Suède unie (comme par enchantement !!). Quant au ministre de l'intégration, il attribuait les violences à un chômage élevé et autres formes d'exclusions. (Les pays d'accueil sont coupables !!)
Et toujours cette argumentation du "petit groupe de fauteurs de troubles" pour ne pas déranger la politique d'immigration jamais remise en question !! Les mille et une justifications pour excuser les casseurs, l'indulgence sans limites pour les protégés d'un système inique, et l'oublie des autochtones qui ne dégradent jamais rien et courbent l'échine, tout en subissant les violences et l'humiliation.
Partout ce même problème récurrent d'une immigration imposée contre la volonté des peuples préjudiciés par l'absence de consultation.
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23/05/2013
Amalgame toujours, l'intox permanente
Mercredi, deux jeunes hommes (à priori pas bien intégrés) ont tué un soldat britannique en pleine rue à coups de couteaux et de hachoirs de boucher au nom d' Allah.
Entre autre déclaration de Cameron :" Nous allons vaincre l'extrémisme en restant soudés,.....et par dessus tout, en défiant le discours toxique de l'extrémisme."
Un soldat tué à Londres en pleine-rue par deux hommes au nom d'Allah
Amalgame toujours. L'intox permanente. Personne n'est dupe de la manoeuvre. Mettre dans le même sac que les salafistes le maudit contre-pouvoir qui dérange le système en place, en l'occurence tout ce qui est identitaire, et sauver l'Islam au nom des intérêts supérieurs d'une tolérance orientée, protectrice pour les uns, disciplinaire et inquisitrice pour les autres. Ce malheureux nationalisme britannique qui n'a pas de sang sur les mains se révèle alors coupable par le seul fait de cet amalgame avec des assassins qui agissent au nom d'un Islam prétendument tolérant. Le bâton est toujours brandi contre l'autochtone rebelle qualifié d'extrémiste. La politique de sanction s'applique par défaut à son encontre au nom d'une funeste idéologie qui prospère sur la décadence des peuples anesthésiés.
C'est cette intox qui met le citoyen britannique dans une situation d'insécurité permanente en le livrant désarmé aux salafistes recrutés parmi les effectifs en augmentation d'une immigration incontrôlée.
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21/05/2013
Dominique Venner : je m'insurge contre la fatalité
Nationaliste et païen, Dominique Venner s'est donné la mort dans le lieu hautement symbolique de Notre-Dame-de-Paris afin de protester contre l'indignité dans laquelle a sombré son pays.
"Je me sens le devoir d'agir tant que j'en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. Je choisis un lieu hautement symbolique.. que je respecte et j'admire. Mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort pour réveiller les consciences assoupies. Je m'insurge contre la fatalité", contre "les désirs individuels qui détruisent nos ancrages identaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire"... "Alors que je défends l'identité de tous les peuples chez eux, je m'insurge contre le crime visant au remplacement de nos populations."
Dominique-Venner-le père de l'extrême-droite moderne s'est suicidé
Les paroles de son dernier texte publié sur son site Internet prennent alors tout leur sens : "Il faudra certainement des gestes nouveaux, spectaculaires et symboliques pour ébranler les somnolences, secouer les consciences anesthésiées et réveiller la mémoire de nos origines.""Nous entrons dans un temps où les paroles doivent être authentifiées par des actes."
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20/05/2013
"chaque jour qui passe nous rapproche du pouvoir"
Extrait article "lemonde.fr" :
Marine Le Pen : "La Banque centrale européenne prête aux banques à 1 % et ces banques, plutôt que de prêter à l'économie réelle préfèrent se capitaliser. Alors, s'il le faut, il faudra nationaliser les banques de manière temporaire", a-t-elle lancé en expliquant que l'Etat devait avoir un rôle de "stratège". "La Grande-Bretagne l'a fait et elle a bien fait de le faire. Car là, c'est un peu facile, c'est la communautarisation du risque et la privatisation des profits. Quand elles gagnent de l'argent, c'est pour elles et quand elles en perdent, c'est nous qui devons venir au pot. C'est profondément injuste."
"les banquiers ont oublié quel était leur rôle : Ce n'est pas de jouer au casino, pas d'essayer de faire des profits délirants dans l'économie virtuelle ou alors à leurs risques, leur rôle, c'est de financer l'économie réelle"."Alors, je veux bien que l'Etat vienne à leur soutien mais dans ce cas, c'est l'Etat qui contrôle."
14:14 Publié dans économie | Lien permanent | Commentaires (0) |
17/05/2013
La France sur orbite, tombe le ciel sur la Gaule plurielle
Le mot "race" sera supprimé du matériel législatif.
Qu'à cela ne tienne, les associations de lutte contre le racisme ne sont encore pas satisfaites. "cela ne fait pas une politique de lutte contre la xénophobie". Reste à supprimer ce maudit vocable de la constitution.
Et aprés ???? Faut-il brûler tous les livres souillés par ce funeste mot ???
Le "Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples" (MRAP) se réjouissait cependant de l'initiative rappelant que la "prétendue existence des races" avait justifié les "crimes les plus monstrueux de l'histoire de l'humanité"
Et le "génocide de classe" du marxisme multiforme ?? N'a-t-il pas été monstrueux ?? Staline ne parlait-il pas de "liquider les Koulaks en tant que classe" ?? Dékoulakisation qui n'est pas sans liens avec ce qu'écrivait Marx dans le Capital "cette racaille en haillons, cette pourriture inerte des couches les plus basses de l'ancienne société". Que je sache, les 150 000 000 de morts du goulag ne l'ont pas été au nom de la race !! "Prolétaires de tous les pays" ou "les travailleurs n'ont pas de patries" sont les slogans communistes qui dédouannent le mot "race" des crimes communistes.
Mais il s'agit surtout de ne pas focaliser l'opinion sur les crimes marxistes !! Comme disait Pol Pot : "J'ai la conscience tranquille". Aprés tout, l'Europe actuelle n'est-elle pas un peu marxiste et esclavagiste ?? Le manifeste du parti communiste de Karl Marx et Friedrich Engels ne commençait-il pas par souligner l'importance de la lutte des classes, puis il s'attachait à décrire l'émergence d'un marché mondial aves ses progrès et ses nouvelles exploitations ??? A s'y méprendre !!
Alors si le "génocide de classe" a été l'oeuvre de criminels, faut-il supprimer le mot "classe", ou faut-il en contrôler l'expression ou l'usage inapproprié ?? Et puis, où en sommes nous en définitive ?? A part l'insulte en vogue, se dire "fils de" comme nos ancêtres est-il un délit ?? Parler de ses origines est-il discriminatoire ?? Pire, je ne pourrais donc plus lire Homère ?? Il semblerait en effet, car la liberté d’expression elle-même de notre pseudo-démocratie est du pur marxisme. J’en veux pour preuve :
La conception marxiste du rejet des libertés "formelles" au profit des "libertés réelles".
Il est permis de priver une personne ou un groupe de certaines libertés, si à l’échelle de la société, la liberté s’en trouve accrue. Selon cette logique, il est légitime d’interdire l’expression de toute opinion dissidente si cela favorise l’avènement de la société idéale fondée sur ce qui lui est propre et primordial.
Là, tu coupes les couilles de Cronos pour donner le jour à une nouvelle génération de dieux plus humains !! Mais à choisir, je préfère Homère au MRAP. Ce qui me ramène encore à une époque décriée par la bien-pensance pour ses conceptions et expressions.
Dominique Venner s'est donné la mort mardi 21 mai 2013, "saint de corps et d'esprit" selon ses mots, dans le lieu hautement symbolique de Notre-Dame-de-Paris. Il explique son suicide comme un acte pour la défense de la famille traditionnelle et la lutte contre l'immigration. Ca n'est pas un hasard si le terme si décrié est à l'honneur dans ses dernières paroles : " J'aime la vie et n'attends rien au delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit."
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Les régimes démocratiques ont une bien cruelle notion du bien et de l'amitié
Depuis le 12 mai, une vidéo, particulièrement choquante, fait le tour du monde. On y voit le chef rebelle syrien Khalid Al-Hamad, commandant de la brigade rebelle Omar Al-Farouq, de l'Armée syrienne libre (ASL), mutiler le cadavre d'un soldat syrien pour lui prendre le coeur et le foie avant de le croquer.
"Nous jurons devant Dieu que nous mangerons vos cœurs et vos foies, soldats de Bachar le chien."
Mais Khalid Al-Hamad (Sunnite) n'en reste pas là : "J’espère que nous massacrerons [tous les alaouites]. J’ai une autre vidéo [que je leur enverrai]. Dans le clip, je scie un autre Shabiha (membre d’une milice pro-gouvernement) avec une tronçonneuse. La tronçonneuse que l’on utilise pour couper les arbres. Je l’ai scié en petits et en grands morceaux”.»
Outre la religion, le conflit syrien est en effet de plus en plus la résultante d'un choc ethnique.
Même si la vidéo a suscité une vague de condamnations internationales, la communauté internationale n'en continue pas moins de soutenir l'armée rebelle qui s'est hâtée de condamner l'acte, pour effet de ménager ses alliés!! Le groupe des "Amis de la Syrie" réunie les rebelles syriens et onze pays qui les soutiennent. Vous avez dit Amis ?? Trop d'amis nuit à l'amitié. La Syrie a déjà des amis indéfectibles !!
Comment peut-on soutenir cet incontrôlable flux disparate d'éléments armés, pour beaucoup venus de l'étranger grossir les rangs des islamistes ?? Les régimes démocratiques ont une bien cruelle notion du bien et de l'amitié. Mais ça, on le savait déjà !! Kadhafi n'était-il pas l'ami de la France en 2007 ?? Elle lui a préféré le Qatar, bienfaiteur du PSG, père adoptif de nos banlieues en effervescence, investisseur et fausse déité !!
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16/05/2013
Hollande, le déni en puissance, la faiblesse en action
Hollande : "Ce qui s'est passé au trocadéro est une agression contre l'image de la France".
Non, Mr Hollande. C'est l'image de la France !! en pleine mutation.
Votre déni est une agression contre l'intelligence des français qui se respectent.
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Soirée PSG / La disparition de la petite Fiona aurait dû faire la Une
Je ne décollère pas. Le jour de la remise de coupe au PSG, je n'arrivais pas à avoir des nouvelles de la petite Fiona à la télévision. Faisaient la une les dégradations de nos "jeunes" des banlieues en déplacement pour l'occasion. Problème chronique lié à la tentative d'intégration aux forceps de ces contingents de jeunes délinquants, déchaînés et hostiles à l'égard d'une France affaiblie par ses pseudos-élites. On voyait tous les commentateurs se morfondre d'une situation dont tous les hypocrites de la terre feignent de méconnaître la cause, se lamentent et surtout s'indignent inutilement. Ce qui a conduit Platini, président de l'UEFA, à dire : "Ca fait un peu désordre !!" Non, Mr Platini. Ce qui fait réellement désordre, c'est la société dans laquelle on vit, et la cour affligeante de flatteurs sans scrupules qui y prospèrent sereinement sous couvert de respectabilité. La décence voulait que tous ces beaux parleurs dont on a la tête farcie ne confisquent l'antenne !! C'est l'innocence qui était en danger ce jour là !!
En effet, certainement aurait-il été plus utile de mobiliser la télévision pour lancer des appels à témoins afin d'aider la petite Fiona. Encore eût-il fallu qu'une alerte enlèvement ait été immédiatement déclenchée sans laisser s'écouler vainement les 24 premières heures cruciales.
Disparition de Fiona Clermont Ferrand Mobilisation réseaux sociaux
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06/05/2013
Le populisme, survivance de la démocratie réelle
Les démocraties bourgeoises dont on nous vante les piètres mérites sur un lit d'horreurs soustraits, ne sont en rien ce qu'elles prétendent être. Elles écrivent l'histoire et nous dictent quoi penser. Il n'est que de constater avec quel mépris elles qualifient le point de ralliement des valeurs sans fards dont la démarche naturelle et dépouillée consiste à redonner la parole au peuple. Le populisme !! On nous présente toute expression du peuple enraciné comme une plaie nauséabonde et funeste, tout ce qui est identitaire et légitime comme un vice diabolique.
En échange, on nous livre tout frais un clivage bien servile et inféodé à ces pseudos démocraties à gants blancs. Un vieux clivage qui prétend rassembler fraternellement les pourfendeurs de ce système exercé aux adaptations et aux trahisons. Le Front de Gauche, pierre angulaire d'une totale emprise sur les consciences converties à l'ignorance, berce l'idéal sournois d'un projet sans lendemain à vocation universelle. Centre de détention des mécontentements les plus dépendants aux poncifs éculés dispensés par les lobbys carcéraux. Il tue l'oeuf et couve la coquille vide de ses obsessions délétères.
Le populisme. Rien ne me plait mieux que ce vocable simple aux accents sincères de liberté. Cette liberté totale, affranchie de l'autorité morale et crypto-religieuse d'un système corrompu, égoïste et mortifère. Le populisme se joue de la république tout sourire, éradicatrice du libre-arbitre, qui a droit de vie et de mort civile sur l'indocile citoyen du cru.
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