30/10/2012
Auguste Blanqui, l'insurgé permanent
Auguste Blanqui est un socialiste révolutionnaire non marxiste prônant la révolution par la violence. En raison de ses tentatives insurrectionnelles permanentes, il passa une grande partie de sa vie en prison, ce qui lui valut le surnom de "l'Enfermé". Du règne de Charles X à la IIIème République, il fut de chaque évènement en passant par la commune de Paris.
Il s'est battu pour des idées neuves à son époque tel que le suffrage universel, l'égalité homme/femme, et la suppression du travail pour les enfants.
« Oui, Messieurs, c’est la guerre entre les riches et les pauvres : les riches l’ont voulu ainsi ; ils sont en effet les agresseurs. Seulement ils considèrent comme une action néfaste le fait que les pauvres opposent une résistance. Ils diraient volontiers, en parlant du peuple : cet animal est si féroce qu’il se défend quand il est attaqué. »
— Extrait de la défense d’Auguste Blanqui en Cour d’Assises, 1832
15:45 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
29/10/2012
Loi Gayssot, loi mémorielle désapprouvée
Extraits d'un article de WIKIPEDIA :
Loi française n° 90-615 du 13 juillet 1990, tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe. ( Certaines dipositions rappellent la loi du 1er juillet 1972 relative à la lutte contre le racisme)
L'article 9 de la loi Gayssot innove lorsqu'il qualifie de délit la contestation des crimes contre l'humanité tels que définis dans le statut du Tribunal militaire international de Nuremberg... Cet article 9 introduit en effet dans la loi de 1881 sur la liberté de la presse en article 24 bis.
Peu de députés présents à l'assemblée lors du vote de cette loi, trois fois rejetée par le sénat. Parmi les hommes politiques opposés à cette loi au sénat, on peut citer Dominique Perben, Pascal Clément, François Fillon, Jean-Louis Debré, Pierre Mazeaud, Jacques Chirac, Jean Foyer, Jacques Toubon, Alain Peyrefitte et Simone Veil. Cette dernière dira : "la loi Gayssot est une erreur parce qu'on a l'air de vouloir cacher des choses. On a rien à cacher... Il ne faut pas empêcher les historiens de travailler". Quant à Jacques Toubon : "Je suis contre le délit de révisionnisme, parce que je suis pour le droit et pour l'histoire, et que le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l'histoire".
L'opposition est aussi venue d'intellectuels et notamment d'historiens, grande majorité d'historiens selon les termes de Pierre Vidal-Naquet : François Furet, François Bédarida, Claude Liauzu ou les écrivains tels que Michel Tournier, Michel Houellebecq, Jean Daniel ou Alain Robbe-Grillet, de magistrats comme Philippe Bilger, de journalistes comme Philippe Tesson et Ivan Rioufol et de philosophes comme Paul Ricoeur.
Claude Liauzu : "Nous ne sommes pas pour la loi Gayssot en tant qu'historiens, loin de là. Il est dangereux d'empêcher la liberté de la recherche et il est préférable d'affronter les négationnistes dans un combat d'idées".
Pour Jean-Pierre Azema, il existait avant la loi Gayssot des dispositions légales réprimant la diffamation raciale, l'injure raciale, et l'apologie de la haine raciale, dispositions en vertu desquelles ont été condamnés Paul Rassinier ( déporté à Buchenvald et Dora-Mittelbau ) Paul_Rassinier, ainsi que Robert Faurrisson et Maurice Bardèche. Il s'interroge donc sur l'utilité d'ajouter à l'arsenal juridique un texte spécifique.
Le 6 août 2010, le polémiste Paul-Eric Blanrue lance une pétition contre la loi Gayssot.
Le 19 avril 2011, Dominique De Villepin s'oppose à Jean-Michel Aphatie sur le plateau du Grand Journal à propos de la loi Gayssot, et s'oppose plus globalement aux lois mémorielles. Il s'était pourtant déclaré favorable à la loi Gayssot en tant que Premier ministre lors du dîner du CRIF en 2006.
Des personnalités comme Robert Badinter ou Eric Zemmour sont opposés par principe aux lois mémorielles et donc en particulier à la loi Gayssot.
Les opposants à la loi disent que celle-ci instaure une "vérité officielle" d'exception sur un point particulier de l'histoire de la seconde guerre mondiale, et nuit donc à la recherche historique générale. De plus, cette "vérité officielle" se réfère au statut d'un tribunal militaire de 1945, époque où l'histoire de la Seconde Guerre mondiale en tant qu'objet d'études et travaux universitaires n'était pas encore ébauchée.
L'historien et ancien ministre Max Gallo, ancien parrain de SOS Racisme dit pour sa part : "Pour l'historien, il n'est pas admissible que la représentation nationale dicte "l'histoire correcte, celle qui doit être enseignée". Trop de lois déjà *bien intentionnées* ont caractérisé tel ou tel évènement historique. Et ce sont les tribunaux qui tranchent. Le juge est ainsi conduit à dire l'histoire en fonction de la loi. Mais l'historien, lui, a pour mission de dire l'histoire en fonction des faits."
Le député européen Jean-Louis Bourlanges (UDF) : "Je suis extrêmement réservé, depuis toujours, à toutes ces lois que je trouve d'inspiration soviétique en réalité, à toutes ces lois qui consistent à dire la façon dont on doit parler de l'histoire, que ce soit la loi Gayssot sur le révisionnisme, la loi Taubira, celle sur l'esclavage, ou cette loi sur le passé colonial, je trouve inadmissible que l'Etat aille au-delà de ce qui est son rôle".
De même l'intellectuel américain Noam Chomsky fustige une loi qui a pour effet d'accorder à l'Etat le droit de déterminer la vérité historique et de punir ceux qui s'écartent de ses décrets.
Les opposants à cette loi affirment qu'elle est contraire à la liberté d'expression et aux droits de l'homme et qu'elle serait donc contraire à plusieurs textes internationaux ratifiés par la France ainsi qu'à la Constitution.
Le conseil constitutionnel français n'a pas été saisi ; certaines personnes disent que l'opposition parlementaire s'est probablement abstenue par crainte d'être accusé de soutenir les thèses défendues par cette loi.
Le Royaume-Uni ne possède pas de texte similaire.
17:00 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
25/10/2012
La France moite de Nathalie Kosciusko-Morizet
Nathalie Kosciusko-Morizet a annoncé jeudi le lancement de son mouvement politique la "France Droite" prévu le 14 novembre.
La "France Moite" eut été plus réaliste !!
12:16 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
Génération identitaire, n'avait qu'à se taire !!
Suite à son occupation d'une mosquée en construction à poitiers, "Génération identitaire" est menacé de dissolution par Manuel Valls, le ministre de l'Intérieur qui parle de "provocation", de "message de haine et d'intolérance" et de "volonté manifeste de faire parler d'eux".
Plusieurs organisations et partis, notamment le MRAP, SOS Racisme, le Rassemblement des Musulmans de France, le PCF et le Parti de Gauche, ont demandé la dissolution de Génération identitaire.
Au contraire, Génération identitaire dit : "Notre occupation du chantier de la grande mosquée de Poitiers a été non-violente et est à inscrire dans notre volonté d'un débat public". Génération identitaire ajoute que cette action s'est "résumée à la pose d'une banderolle et de slogans (...) et que l'évacuation s'est faite dans le calme".
Génération identitaire a réclamé mardi dans une lettre ouverte au premier ministre un référendum sur l'immigration.
Jamais il n'a été question d'interdire ou de sanctionner les organisations, associations ou partis ayant soutenus l'occupation des églises (monuments historiques et non des chantiers !!) par des sans-papiers en contravention avec la loi.
Marine Le Pen dit comprendre la préoccupation des manifestants et se montre attérrée par les réactions d'hystérie.
Aussi, de référendum il n'y aura pas, car l'autoritarisme sanctifié de notre régime militant et bienveillant consiste à nous imposer une sacro-sainte immigration de peuplement* pour le bien du genre humain. A bon entendeur, la contester se résume arbitrairement et opportunément comme l'expression du racisme condamné par la loi. La boucle est bouclée, la démocratie se dérobe au nom des saints commandements d'une sharia politique toute républicaine. Jadis, l'inquisition s'était également donné d'immaculées raisons d'en imposer aux consciences expurgées de leur libre arbitre.
Le libre arbitre est mort à l'avènement des dogmes. Le dogme tue l'esprit et la liberté qui va avec. Le dogme se donne toujours les meilleures raisons pour justifier son diktat sur les consciences opprimées.
Le dogme prévaut sur la liberté des peuples à disposer d'eux-mêmes.
*On peut se permettre désormais de parler d'une immigration de peuplement au nom des grands principes qui reposent principalement sur des critères plus abstraits et conduisent à des assouplissements : [ Je refuse l'idée que seuls les détenteurs d'un CDI puissent devenir français - Manuel Valls ], dans le même temps où "les français sont jetés au chômage à un rythme rarement atteint" [ Marine Le Pen ]
La presse en profite pour mettre en relief les soi-disant "consignes de durcissement" de son prédécesseur Claude Guéant. La pérénnité du système en dépend qui prépare l'avenir pour le passage de relais !!
11:13 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
19/10/2012
Le mensonge est l'arme de prédilection du pouvoir dogmatique
Le mensonge est l‘arme de prédilection de l’alliance jalouse et dogmatique qui se partage le pouvoir sur le dos du peuple trahi. Son prêche évangélique n’est qu’un leurre destiné à maintenir son emprise inflexible sur les êtres craintifs et dépendants. Ce pouvoir contraignant et justifié ne pourra cependant empêcher l'incrédule vérité d’emprunter les chemins de traverse qui alimentent en courant continu, l’inéluctable perspective d'un rétablissement du bien-fondé qui filtre par la voie du bon sens en souffrance interdit de cité.
18:59 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
Florange, on s'en fout !!
La future banque publique d'investissement (BPI), référence à la banque publique allemande KFW, doit voir le jour début 2013. Aux dires de son futur président Jean-Pierre Jouyet, elle n'a pas vocation à "aider les canards boiteux", et ce, en réponse à une question sur un éventuel soutien à l'acierie de Florange, en Moselle.
Bras armé de la politique économique du gouvernement, censée relancer la compétitivité des entreprises industrielles, entreprises innovantes et PME exportatrices, la BPI abandonne les blessés inaptes pour le front. L'acierie de Florange n'a pas pour elle d'être un secteur stratégique d'avenir, qu'elle crève.
La raison est simple : "La BPI n'est pas un outil défensif" qui doit voler au secours d'une entreprise en difficulté, mais "un outil offensif" qui doit accompagner la croissance des PME, a résumé le ministre de l'économie, Pierre Moscovici.
Comment tout cela sera-t-il supervisé ?? Ca promet !! Avec les régions, ça sera fête tous les jours !! Prenez le foot, quel exemple !!
Financement des clubs pros / Etat / collectivités / Régions
On l'aura compris, pas de place pour les canards boiteux dans notre société prédatrice. Ce monde est aux banques et aux actionnaires sous la bénédiction des politiques dispensateurs. Les ouvriers de Floranges on s'en fout !!
En réponse à ce mépris du travailleur jetable et corvéable, joute des élus UMP contrariés au prétexte de conflits d'intérêts, car les régions, présidées par la gauche sauf l'alsace, auront un rôle déterminant à jouer dans cette banque qui travaillera avec de l'argent public !! Joute ou jalousie ??
Gauche, droite, notre malédiction. BPI, OSEO, même scénario !!
17:18 Publié dans Actualité sociale, politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
18/10/2012
Naturaliser tout va, là est l'urgence, politique et électoraliste
Le ministre de l'intérieur, Manuel Valls, a dit jeudi à Toulouse sa volonté de redresser la courbe déclinante des naturalisations d'étrangers.
"L'urgence tout d'abords : redresser la courbe du nombre de naturalisations, en revenant sur les critères les plus discriminants...." [ En autre chose, les motifs touchant au travail représenteraient 40% des rejets. Or, si ce critère n'est plus pris en considération, si tant est qu'il l'ait été effectivement, révélation sera faite qu'il ne s'agit pas d'une immigration de travail mais de peuplement !! ]
Pourquoi est-ce donc si urgent de naturaliser, et se presser de faire sauter les " quelques barrières restantes" de l'accés à la nationalité jugées si discriminantes, alors que bon nombre d'électeurs ont manifesté leur désaccord avec cette politique d'immigration dont la naturalisation est la phase ultime ??
Il y a derrière cette volonté un objectif non dissimulé, outre de faire baisser les statistiques de la présence étrangère en France, mais surtout la volonté de fabriquer des français de papier, électeurs acquis à la cause immigrationniste si chère au monopole UMPS.
Français, françaises, enfants de la terre de France ruinée et dont les judas se partagent les dépouilles, fils et filles élevés dans le déni de nos ancêtres dépossédés de leur culte et de leurs privilèges, ne vous endormez pas sur les bienfaisances invoquées pour vous contraindre à décliner la flamme de votre temple originel, et ce, pour l'avènement d'une idéologie électoraliste et méphistophélique qui n'a de bonté que les apparences.
Pour Mr Valls, lui-même naturalisé à 20 ans sous Mitterrand, la France de nos ancêtres est une France qui doute, qui regarde le monde avec méfiance et cède à la tentation du repli sur soi. Car Mr Valls, qui fustige tout débat sur l'identité nationale, veut, dit-il, faire de "l'accés à la nationalité un véritable moteur du sentiment d'appartenance à notre nation." Trés saint père !! Une porte ouverte à toutes les convoitises, une mise en cause à peine voilée de l'esprit et du sentiment d'appartenance de nos pères indirectement dénigrés et injustement catalogués !!
Parce qu'il est de mode que les français soient repentants, nous devons montrer patte blanche, tout céder, tout accepter, sans sourciller, et nous abandonner aux grands seigneurs qui décident de ce qui est bien ou mal pour nous, sans nous consulter !!
Sans nul doute, nous allons au chaos. La repentance ne nous sauvera pas de l'abîme où nous sommes précipités. Mais il est encore temps d'opposer notre instinct de survie aux bolchéviques projets de communautariser les pauvres de ce nouveau monde, en proie à la société voulue par nos élites formatées et ralliées.
A propos de repentance :
Marine Le pen lie repentance et hostilité vis-a-vis de la France
11:42 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
15/10/2012
L'exemplaire Mr Peillon
Un ministre de l'éducation pour la dépénalisation du canabis, une France dans un état second !!
"Je vois quasiment maintenant tous les soirs sur nos chaînes de télévision des reportages pour montrer les trafics illicites de nos banlieues, le danger dans lequel vivent nos concitoyens, y compris les enfants des écoles"...
a illustré le ministre
Cherchez l'incohérence !! Les banlieues hors la loi marquent un point. La solution pour Mr Peillon ?? Leur donner raison !!
Plutôt que s'attaquer aux problèmes d'autorité, d'incisme et de violence à l'école, notre ministre préfère s'offrir le luxe de mettre au box-office son esprit d'ouverture simulé, habituelle couverture qui permet toutes les dérives et démissions.
12:09 Publié dans Faits de société, politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
12/10/2012
L'absentéisme à l'école, c'est la démission du pouvoir politique
Mis en place en janvier 2011, un dispositif prévoit une suspension partielle des allocations familiales en cas d’absentéisme trop fréquent et non justifié à l'école, après convocation des parents et un avertissement prononcé par l’inspecteur d’académie.
La ministre déléguée à la réussite éducative (oups) Georges Pau-Langevin s’est déclarée favorable à l’abrogation de ce dispositif. Selon elle, « cette loi a un discours punitif à l’encontre des parents… Quand un parent commence à être dépassé par une situation, il faut l’épauler. »
Epauler, c'est laisser une "catégorie de population" percevoir des droits et rejeter ses devoirs.
La droite fait dans l’inefficace, la gauche défait, et la France s’enlise dans ses problèmes insolubles.
10:14 Publié dans Faits de société, politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
11/10/2012
La démocratie, nouvelle religion de l'amour
La démocratie ne va pas sans liberté d'expression. Or, il est convenu de dire que nous sommes en démocratie. Le fait même qu'il ne soit pas convenu de le contester n'est pas sans m'évoquer un système en vase clos où il n'est pas permis de douter sous peine d'être désigné à la vindicte publique, en l'occurrence se voir cataloguer en ennemi de la République. Tout un chacun se veut convaincu de pouvoir tout dire, à condition j'ose ajouter, de n'être pas digne d'intérêt, ou bien encore feint d'en être convaincu par adhésion à je ne sais quelle idéologie dominante. En réalité, il n'y a jamais eu autant de citoyens qui n'osent dire ou penser sans risquer le bâton ou l'excommunication. L'évocation serait même circonstance aggravante. Le soupçon est partout le signe d'un malaise inavoué où le bien-vivre ensemble rime avec tais-toi et souris.
La démocratie ? On a pas pu faire autrement que nous la donner, tout au moins un succédané. Mais il est aisé de reconsidérer son essence en son nom et pour son bien, afin de réserver l'application des principes qui la fondent à une zone verte, pour mieux la mettre à portée du législateur sujet à tous les changements dans la droite ligne d'une politique régimiste et sacro-sainte, subordonnée à la bonne parole qui peut tout à la droite de Dieu.
15:18 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
27/09/2012
Les hommes politiques au pouvoir sont responsables et coupables de nous avoir menti sciemment
Le "racisme anti-blanc" dans les banlieues, sujet hautement tabou naguère a été abordé dans le dernier livre de françois Copé. Avant Copé, parler de ce sujet, c'était se montrer ouvertement raciste. Un révélateur en quelque sorte. Désormais, parce qu'un ténor de l'UMP ose en parler, c'est devenu propre. Ce n'est pas seulement le système qui est à blâmer, c'est l'esprit de tout un chacun, rééduqué, reconditionné, frileux et imprégné des plus lâches automatismes. Le candidat à la présidence de l'UMP a donc compris que faute de marginaliser le FN, il était opportun de lever le voile sur certaines réalités afin de récupérer et, un électorat maudit mais utile, et, une fraction non négligeable de l'UMP tenté par l'authentique dynamique d'un mouvement qui trouve sa légitimité dans le courage politique en l'absence de tout calcul. Mais les caciques du système ne lâchent rien. Comme dit Valérie Pécresse qui nous affiche toujours une belle galerie, "Tout le monde a sa place dans une grande UMP...Pour rassembler plus de 50% des français, il faut récupérer les électeurs tentés par le Front National" et "en même temps ne pas perdre le centre". Il est bien entendu que pour ne pas perdre le centre, il ne faut pas être trop ferme!! Comme dit la député des Yvelines qui, afin de soutenir l'écurie Fillon, écorne quelque peu la crédibilité du député-maire de Meaux, "Il ne faut pas être seulement dans la dénonciation, mais plus dans la proposition". Les propositions, vous l'aurez compris, ne seront qu'expédients pour vous faire accroire que la situation évolue dans le bon sens. On les attend, les propositions, histoire d'en rire, si encore le sujet se prêtait à la rigolade!!
Le grand révélateur de cette histoire est que les responsables de la classe politique connaissaient la réalité du problème et ont insulté ceux qui le dénoncaient. Les hommes politiques au pouvoir sont responsables et coupables de nous avoir menti sciemment, pour donner raison aujourd'hui à ceux qu'ils calomniaient. Pire, c'est par calcul politique et opportunisme que leur vient cette motivation!! Ils viennent alors comme de blanches colombes nous parler avec délicatesse d'un fléau qu'ils sous-estiment encore, afin de pouvoir s'autoriser de fausses et dérisoires solutions.
Si les français étaient assez perspicaces dans leur jugement, ils diraient enfin : "Ces gens nous ont menti, et ils demandent qu'on leur fasse crédit pour l'avenir. Ils sont désavoués par leur propre duplicité, et décrédibilisés par leurs revirements qui impactent l'injuste traitement qu'ils ont réservé à d'autres élus de la République, et à qui ils sont obligés de donner raison.
Pour ma part, je pense à tous ces français, français d'origine j'ose dire, qui ont été livrés aux banlieues communautarisées, et qui ont souffert la violence et l'insulte au quotidien dans l'indifférence générale, sans pouvoir compter sur personne pour même en parler.
10:04 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
25/09/2012
Anne Hidalgo, clone politique de Nathalie Kosciusko-Morizet
La première adjointe au maire de Paris Anne Hidalgo, clone politique de Nathalie Kosciusko-Morizet, s'en est prise bien-sûr au FN, exercice préalable destiné à l'appréciation des candidats à de plus hautes fonctions. Avec toujours cette profession de foi commune à tous ces chevaliers du temple qui guerroient contre un péril inexistant :"Je me battrai toute ma vie contre les idées extrêmes maniées par le Front National". Que risque-t-elle? Des promotions. Je comprends alors son propos "La démocratie est un joyau."
Citons Anne Hidalgo : "Je veux être la prochaine maire de Paris"
Quelle est donc son grief? La filiation historique du FN, qui aurait soutenu pendant la guerre la collaboration avec les nazis!! Il ne peut être question du parti qui a été fondé en 1972. Mais alors, si il s'agit de personnes membres du partis, que penser des anciens résistants qui animent ses rangs??? Sont-ce donc de nouveaux collaborateurs qui oseraient s'afficher avec d'anciens partisans du Maréchal?? Mais où va-t-on avec ces accusations permanentes qui ravivent ce climat de guerre civile?? Car, tout le monde sait que cette guerre mondiale fut aussi une guerre civile et que les hommes qui ont soutenu le Maréchal Pétain provenaient de toute horizon politique :
Communistes / Jacques Doriot, Jules Teulade, Marcel gitton, ancien n°3 du PCF, Marcel Capron, député-maire d'Alfortville élu PCF en 1936, Syndicalistes / Georges Yvetot, figure historique du syndicalisme français, Socialistes / Pierre Laval député socialiste SFIO, plusieurs fois président du conseil sous la Troisième République, dauphin désigné du Maréchal, Georges Soulès, socialiste SFIO, membre du cabinet de Charles Spinasse, Marcel Déat ancien député socialiste SFIO, Robert Hersan, membre des jeunesses socialistes, fonde le "Jeune Front", groupuscule pro-nazi, Marc Augier, membre de cabinet de Léo Lagrange dans le gouvernement du Front Populaire, ainsi que René Mesnard, Radicaux-socialistes / René Château, pierre Clémenti, journaliste de la presse radicale-socialiste, Monarchiste / Eugène Deloncle, Bonapartiste / Pierre Costantini, Droite conservatrice / Alphonse de Châteaubriant, Alfred Baudrillard, membre de l'Académie française, Démocrate-chrétien / Maurice Delaunay, Extrême-droite / Jean Boissel. etc...
Alors quand ce comité de salut public en mal d'épuration cessera-t-il de nous apporter des têtes au bout de ses piques. Il faut en prendre dans tous les partis !! Même là où se concentrent les honneurs :
Marie Charles Jean Melchior, marquis de Polignac, Chevalier de la légion d'honneur, Officier de la légion d'honneur, Chevalier d'honneur et de dévotion de l'Ordre souverain de Malte, Commandeur de l'Ordre d'Orange-Nassau, Officier de l'Ordre de la Couronne de Belgique, Chevalier de l'Ordre du Lion blanc de la République tchécoslovaque, Titulaire des ordres olympiques allemands et belges et ....membre d'honneur du groupe collaboration.
14:46 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
24/09/2012
Faute de consultation, l'immigration n'est pas une obligation
Extrait d'un article de "liberation.fr" :
Après les déclarations de Marine Le Pen sur l’interdiction du voile et de la kippa dans la rue, Jean-Marie Le Pen a clôturé, samedi la première journée de cette université d'été à la Baule avec une conférence sur l’immigration. Devant près d’un millier de sympathisants et de cadres frontistes, très longuement acclamé à son arrivée sur scène, le président d’honneur du Front National s’est livré pendant près d’une heure à une dénonciation de l’immigration particulièrement dure, la rendant responsable de toutes les crises subies par la société française.
Déficits des comptes publics, des comptes sociaux, crise de l'école, insécurité et délinquance, voire risques sanitaires accrus, tout est dû, selon lui, à la présence massive des immigrés sur le territoire national. Jean-Marie Le Pen considère désormais que «le service des maladies tropicales qui avait pour but d’accueillir les ex-colons soignent désormais les colonisateurs . « Ce sont des civils sans armes potentiellement plus dangereux qu’une armée. Il est urgent de mettre fin à cette immigration de peuplement», a déclaré le vieux leader d’extrême droite. Pour lui, «à nos portes, au sud de la mediterrannée, 200 millions de musulmans sont une menace sérieuse». Il considère que «l’islamisme est le fils aîné de l’immigration».
«La vraie question qui se pose pour le peuple français est celle de son appauvrissement et à moyen terme de sa survie» a poursuivi Le Pen pour qui «l’immigration est devenue une invasion et comme toute invasion elle connaît ses traitres et ses collaborateurs». Une situation dont Jean-Marie Le Pen rend responsable «la droite qui est la principale responsable de la décadence française avec Giscard et le piteux Chirac». Pour le reste, Jean-Marie Le Pen a repris les propositions habituelles du FN. A commencer par la suppression du droit du sol parce que «quand une chèvre naît dans une écurie, ce n’est pas pour cela qu’elle devient un cheval».
Note personnelle : Entourée de ses disciples arborant ostensiblement leur croix chrétienne, Marine Le Pen a demandé poliment à la communauté juive de consentir à un petit sacrifice concernant le port de la kippa dans les lieux publics. La tonalité n'est pas la même lorsqu'il est question de foulards ou de burqas. A l'évidence, il y aurait entre chrétiens et juifs un intérêt commun à s'entendre sur une question de civilisation qui touche au religieux par la voie du politique. Dans le camp tricolore, les petits soldats de Christ ménagent un allié de circonstance en ces temps incertains où Dieu même est chahuté entre les mains des destins malins. Mais il n'y a pas d'alliés fiables parmi les fidèles serviteurs d'institutions religieuses qui parrainent les doctrines cosmopolites et universelles. Pour ma part, je me détourne à souhait des subtiles manoeuvres que les conquérantes vocations mettent à profit au nom de la foi. Les faits parlent d'eux-mêmes. Aujourd'hui plus servile que jamais, la religion chrétienne s'est historiquement imposée par la contrainte. Forte de ses légendes passées redorées, elle se présente aujourd'hui comme étant l'héritage des générations qui nous ont précédées, bien souvent converties par crainte du châtiment, sous le règne de l'intérêt, ou sous l'emprise du commandement des usages en vigueur. Et gare à celui qui ne souscrit pas à cette idée convenue que sanctionne le temps. La religion juive est, au contraire exclusive et nullement messiannique. Elle s'est donnée la faculté d'imprimer sa voix depuis une sphère différenciée riche de toutes les influences, sans que cela bouleverse la suprématie de facade de la religion chrétienne vouée aux masses et aux dénis. Quant à la religion musulmane, il faut parler sans ambages, elle est avant tout messiannique et remplit progressivement l'espace à occuper dans la coquille vide de cette république soumise au chantage de la diversité régnante et contraignante, au bénéfice d'un pseudo patriotisme évangélique et calculateur qui prospère sur les traumatismes ressurgis de notre passé, et reconduits sans fins.
20:52 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
13/09/2012
Le patriotisme est un bien rare
Le patriotisme est, de source officielle, hostile et mauvais. Peut-être est-il en effet excédé par le simple fait que tout le monde s ‘en réclame, et en première ligne les plus perfides et insincère enfants perdus de la nation agonisante. Le patriotisme serait à l’origine de tous les maux car, Dieu veille, on prend bien soin de stigmatiser l’identité des nations comme vecteur de tensions, pour mieux nous vanter la miscibilité de celle-ci comme source d’apaisement. On occulte bien évidemment les réelles vocations des faiseurs de guerres qui se sont toujours désintéressés des considérations propres aux autochtones pressés sous leur traditionnel étendard en quête d’une unité sélective. Le patriotisme est devenu l’épouvantail à moineaux pour protéger les richesses de ceux qui en sont les chantres, au nom d’une démocratie qui en serait la plus vivante représentation, sur le mode républicain épuré de toutes ses insultes à la vie et à l’humanisme vrai. Le patriotisme se voudrait aujourd’hui la carte vitale de tous au profit de quelques ténors sans scrupules qui n’aiment d’autre monde que le leur. Le diable emporte tous ces patriotes de foire. Cette sobre piété est, de façon immuable, le privilège d’une minorité qui n’a que faire de s’en réclamer, libre de toute obédience, sans portefeuille ni perruque, libre de ne pas se faire obligation d’allégeance à un système qui accrédite, légitimise et sanctifie les effets d’annonces impropres. L’authentique patriote n’a pas le pouvoir car il n’est ni malléable, ni miscible au temps sans caractère qui usurpe la légitimité de l’éphémère gloire. Le pouvoir temporel, lui, est fort mais il a peur. Son heure viendra. Celui qui aime n’a peur de rien et cultive le sacrifice comme une aube désirée. Rien de surfait ne peut tuer le naturel qui, tambour battant, prend racine à la veine de l’ âme collective transmise à chacun des fils et filles, héritiers d’un pouls sensible et mesuré.
13:53 Publié dans philosophie, politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
27/07/2012
Chambre des députés, lit de mort du peuple
Quand j’y pense, ils doivent bien rire nos députés de s’être fait réélire malgré le mécontentement des français. Et ces pauvres FN avec leurs millions d’électeurs pour deux députés. Quelle rigolade autour d’une bonne table. Ces pauvres français. Ce fier peuple abrutis par les médias, par ses certitudes entretenues, hypnotisé par les faiseurs de tours, par les modes de scrutin coquins, par les ententes opulentes et immorales qui se jouent d’un système adapté sur mesure pour l'imposture. Ce peuple qui n’ose même plus redresser la tête, adresse de timides revendications non sans donner l’assurance de son allégeance la plus respectueuse. La liberté, il n'en veut pas. Elle lui impose le courage.
16:08 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
18/07/2012
L’idée française de nation modèle, encore un monothéisme nivellateur
Au moyen-âge, le mot natio, conformément à l’étymologie (nascere), « désignait un groupe d’hommes ayant une origine commune ». Il est donc en rapport avec l’origine ethnique et géographique. Le mot nation est aujourd’hui galvaudé au nom d’une utopie mondialiste et nivellatrice érigée en nouvelle babylone, fichée dans le flanc des peuples crucifiés à cette idéologie inquisitrice prétendument bienfaitrice. En effet, si l’idée française de nation a su éveiller tant de peuples à l’histoire, elle n’en a pas moins véhiculé le plus redoutable des universalismes, avec, pour la France dogmatique, cette outrecuidante vanité à vouloir s’affirmer comme la seconde patrie de tous les hommes. Les français ont toujours été persuadés qu’ils avaient la mission d’apporter au monde, de gré ou de force, un modèle de société ou de civilisation. Baïonnette au canon, notre grand empereur n'a pas démenti cet état de fait. L’esprit de 1789, celui des Droits de l’homme, celui des lointaines croisades, habite toujours le peuple français. L’idée française de nation devient folle chaque fois qu’elle se détache de ses racines qui plongent dans un sol que tant de fils de France ont abreuvé de leur sang. Lavez-vous de ces impropres obsessions qui donnent libre court à toutes les spéculations. Notre pays ne s’est pas construit ex nihilo ou avec les bras d'une nuée d'esclaves maintenus en sujetion. Illusion tenace que cette missionnaire utopie salvatrice associée à l'idée d'une dette que nous aurions envers l'histoire. Notre histoire n'est pas née avec l'idéologie des lumières mais se meurt avec elle, inexorablement. Glorifiée aujourd’hui par les dépeceurs de l’âme française, sa bonté feinte galvanise les cosmopolites de cour dont les desseins n’ont rien de philosophiques lorsqu’ils décrète pour la France une vocation suicidaire : être la terre sainte de toutes les convoitises, et conjurer nos fautes présumées grâce à notre abnégation sans failles sous le couperet de toutes les revendications profanatrices.
22:20 Publié dans histoire, politique | Lien permanent | Commentaires (2) |
11/07/2012
La démocratie, système réservé aux hommes-dieux sans cultes
La démocratie est un système dépendant qui repose sur l’activité d’hommes attachés à l’ obéissance d’une éthique élastique maintenue dans l'étau virtuel de l'intérêt personnel réel. L’ouverture à vocation rassembleuse est gage d’une instabilité chronique qui assure à la grande confrérie des élites le maintien de chapelles syncrétiques et interchangeables dans le giron des allégeances concertées.
La démocratie est une bénédiction. On se demande bien pour qui !! Mais je me garderai bien d'en faire ma cible avouée, au risque d'être lapidé par nos sicaires adorés.
11:55 Publié dans petite phrase, idée sage, politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
09/07/2012
Dédiabolisation ou chantage permanent
En ces temps de débandade où peu d’hommes et de femmes osent exprimer des pensées à contre-courant d’une inquisition établie, il est coutume de considérer comme une opinion toute forme de lâcheté. On en vient à des situations cocasses où le renégat est drapé de respectabilité et se voit être l’intangible garant d’une ligne morale à laquelle l’authentique noblesse et les vertus non feintes sont tenues de se conformer sous peine d’être irrémédiablement clouées au pilori.
En découle cette spécificité française de dédiabolisation, qui consiste à faire d’une opposition réelle et sans concessions, une contestation soumise au chantage permanent. En somme, une espèce d’OPA sur la réaction vitale et salutaire qui a vocation à s’amender pour mourir irrémédiablement, afin que mort vive.
13:43 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
06/07/2012
Jean-Marie Le pen n'est pas Obélix, il a l'intelligence en plus
Soop dans la presse. Jean-Marie Le pen aurait dit que sa fille est une petite-bourgeoise !! Pas Masterchefs les journalistes, l'assaisonnement est un peu fort en bouche !! En réalité, le portrait que Le Pen père brosse de sa fille n'est pas désobligeant, si les journalistes n'étaient là pour faire les gros titres d'un brin de phrase encore une fois sorti de son contexte.
Jean-Marie Le pen est en effet un homme issu d'un milieu simple, laborieux. Soldat, combattant, homme politique courageux, sa vie fut virile, à comparer à celle de sa fille, non pas privilégiée comme certains aiment à le dire et le faire croire, mais plus confortable, sur un modèle on dira petit-bourgeois, en somme, un modèle qui se prête bien à la critique. Petite-bourgeoise en effet sont devenues la plupart des générations nouvelles qui n'ont pas connues la rudesse de la vie austère de nos pères. Cependant, on ne saurait envier ces nouvelles générations qui auront d'autres défis à relever face à la démission des élites dévoyées. En tout état de cause, ce constat n'est pas un désaveu pour sa fille.
Les journalistes ont faims et soifs. Le fiel leur interdit toute impartialité suspecte. Avec hardiesse, ils s'empressent de dépecer tout ce qui peut rester de fierté dans le pays. Cette fierté, elle est dans la réaction à la décadence et à la démission. Les propos de Jean-Marie Le pen ont pour particularité de n'être jamais en odeur de sainteté. Tous démissionnaires, les reniés partout aux commandes d'un pouvoir confisqué par un système d'accords et d'ententes, assènent d'incessants affronts aux représentants bannis de l'Etat Nation. On en jugera par le procés fait aux "essayistes" malfaisantes, auteurs de ce qu'ils osent appeler une biographie de Marine Le Pen, et qui tourne au plébiscite de l'insulte par une presse aux ordres. Tous les reniés de la société mondaine les adorent. Le peuple, lui, reste béat. Il a perdu les élections, comme à son habitude. [Quant aux Mélenchonistes qui s'identifient un petit peu trop facilement aux intérêts du peuple qu'ils trahissent, ils n'ont pour seule ressemblance avec celui-ci que d'être âprement cocus, à l'exception des électeurs lepénistes qui sont royalement exclus]
Jean-Marie Le pen a le droit de railler l'élite parisienne qui préfère à son être " grossier" et "inquiétant", la bonne éducation de sa fille, fille de surcroit. Il a le droit de dénoncer l'image visqueuse qui plaît à ce pays en proie à ses démons, et sous l'influence des lobbys émancipateurs de l'esprit français.
Le Président d'Honneur du Front National au Times : "Mon image de diable s'est méthodiquement et avec ténacité imposée dans le monde politique français. Ma réputation d'antisémite a été créée artificiellement"..."Mais ce n'est pas Jean-Marie Le Pen qui est le diable à leurs yeux, c'est le défenseur de la nation"..."La stratégie de Marine est de fournir à nos adversaires le moins d'angles d'attaque possibles."..."Par exemple, tous ces courageux et dynamiques militants qui se sont fait remarquer parce qu'ils avaient le crâne rasé ont été écartés".
Mais pour Jean-Marie Le Pen, le FN n'a pas réellement changé et reste attaché à la défense de l'Etat nation contre la mondialisation, en général, et les "vagues déferlantes" d'immigrés musulmans, en particulier.
Citations extraites de l'article "lci.tf1.fr" suivant :
Marine Le Pen une petite bourgeoise pour son père
Il y a entre le vieux guerrier Gaulois et la Ripoublique tribunicienne, un indéniable fossé !!
Jean-Marie Le pen n'est pas Obélix, il a l'intelligence en plus. Mais il a cette même intégrité que notre héros préféré.
14:51 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (2) |
04/07/2012
Insulteurs prévenus / suivi de lettre aux transfuges
Caroline Fourest et Fiammetta Venner sont jugées pour diffamation et injures au tribunal correctionnel de Paris pour une biographie publiée en juin 2011 chez Grasset. L'éditeur Olivier Nora est également poursuivi. Sont visés par cette biographie Le Pen père, Le Pen fille et conjoint. On ne saurait que trop rappeler ce qui motive la plainte des Le Pen père et fille.
Les auteurs de l’ouvrage visé dépeindraient Le Pen père comme un personnage raciste, antisémite et cupide. Quant à la fille, elle serait dépeinte comme une fainéante aux capacités limitées, tout comme son compagnon utilisant un vocabulaire raciste. Pour couronner le tout, d'aprés "lefigaro.fr", parce que Le Pen père a choisi comme parrain pour sa fille Henri Botey, l’ « Emperereur de Pigalle », les auteurs se permettraient de lier le FN au grand proxénétisme. Enfin, les auteurs auraient utilisés d'anciennes interviews de la mère de Marine Le Pen, Pierrette, parues en 1988 dans les revues "Globe"et "Rolling Stone"où elle disait notamment que ses filles avaient été élevées par leur père dans un "antisémitisme primaire". [Cet épisode présenté dans le livre comme une "vengeance de Pierrette Le Pen au moment du divorce" permet manifestement aux auteurs d'en parler dans le but d'appesantir le portrait des personnes décriées tout en se dédouanant d'en faire une accusation. Caroline Fourest et Fiammetta Venner auraient presque eu de la compassion pour Marine Le Pen lorsqu'elles évoquent que celle-ci en aurait beaucoup souffert. On ne s'y trompera pas !!]
A cela s’ajoute la collaboration de transfuges du FN aigris et acerbes, comme peuvent l’être tous les transfuges de l’histoire.
Citons-en un à propos de la fille : « Je la trouve mal-élevée, dilettante, tire-au-flanc, désinvolte et hystérique ». « Un animal politique, la gamine ? Les bras m’en tombent. Un teckel aussi est un animal ». « Un potentiel ténor du barreau ? Laissez-moi rire. La gamine, c’est le Montebourg du FN ! »
Le tribunal se laissera-t-il envoûté par Mes Richard Malka et Georges Kiejman, animateurs d’un show ayant vocation à mettre tous les rieurs dans le camp des intellectuels qui font profession d’outrager. Même Stéphane Durand-Souffland, auteur d’un article du "figaro.fr" semble prendre bien du plaisir au jeu, au détriment de la plus élémentaire morale, allant jusqu’à considérer qu’il est quelque peu audacieux de poursuivre en diffamation des « essayistes » tel que Caroline Fourest et Fiammetta Venner.
Le tribunal jugera, mais je crains que la gravité des insultes ne soit fonction de la qualité des insultés !!
*************************
Au passage, je tiens à laisser un message à l’adresse de tous les transfuges de l’histoire qui tuent leurs idéaux dés que l’homme perd son contrôle pour de plus bas instincts trop humains.
Moi aussi j’ai été pendant bien des années un grand militant du FN, responsable d’un arrondissement de Paris. Membre de la sécurité rapprochée (DPS). Mais parce que je ne demandais rien, je l’étais officieusement au plus grand bénéfice des officiels qui participaient aux rapports d'activités, et qui se plaisaient à vanter les résultats obtenus au prix de nos efforts dans leur intérêt propre. En effet, à l’époque, j’organisais les expéditions militantes avec une fine équipe de filles et de garçons dévoués. En leur compagnie, je passais mes nuits à coller des affiches alors que j’exerçais un métier le jour. Mais aussi, je vendais seul des journaux sur les marchés les plus exposés et boitais des tracts, assurais la sécurité des meetings, participais à la tenue des stands lors des manifestations diverses et variées.
Et que s’est-il passé ??? A l’époque, le FN avait encore le droit d’être représenté au salon du livre. Or, pour la première fois, j’ai demandé à un responsable du bureau politique une petite faveur : l’autorisation de présenter mon ouvrage autoédité sur un petit coin de table réservé aux écrivains engagés de ma sensibilité.
La réponse fut non seulement négative, mais j’ai subi un affront qui m’a meurtri. Lorsque je me suis indigné en faisant valoir (pour la première fois et à contre-coeur) que je n’étais pas sans me dévouer et qu’il était assez désobligeant de se voir exclu d’une manifestation où j’émettais le souhait d’exister, la grande dame fort en gueule, membre fondateur dont je tairais le nom, aujourd'hui transfuge à son tour, m’avait dit ne pas me connaître et ne pas me compter parmi les effectifs du parti. Je n’étais rien. Je n’avais officiellement rien fait. Je n'avais pas existé !!
Et bien voyez-vous transfuges, vous avez donné, vous avez eu, vous avez tout renié au point de vous associer avec la lie de la société intellectuelle française. Je juge sur acte. Ceux que vous insultez sont blanchis à mes yeux. Pour ma part, au contraire de vous, j’ai tout donné, je n’ai rien exigé, je n’ai rien eu, j’ai été injustement offensé, mais je n’ai rien renié. Je n’ai pas retourné ma veste, je n’ai pas œuvré contre ceux qui m’ont fait affront. Je reste fidèle après avoir surmonté mes désillusions !! Peut-être en effet faut-il être un "gens du barreau" pour voir ses actes reconnus. Avec pareille qualité, on peut même bien figurer sans prendre sa carte et faire la fine bouche. Moi je suis fils d'ouvrier, un coup de pied au cul pour mes prétentions, quoi de plus banal !! Mais je n'ai pas bougé, ferme sur mes positions !!
Je n'aime pas les transfuges, à plus forte raison lorsqu'aprés avoir été gratifiés d'une fonction honorifique, ils renient leur serment et défilent à la barre, trop heureux de lyncher publiquement la famille Le Pen. Sans retenue, ils sont prêts à soutenir les tenants d'une cause qu'ils ont jadis combattu, et ce, au détriment de leurs anciens amis outragés qui leur avaient jadis accordé leur confiance.
Ils sont le miroir de la vanité humaine.
16:53 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
02/07/2012
Robert Brasillach, condamné pour l'éternité
Son procès, qui s'ouvre le 19 janvier 1945 devant la cour d'assises de la Seine, dure 6 heures. Il est condamné à mort le jour même après une délibération de vingt minutes. Une pétition d'artistes et intellectuels renommés, parmi lesquels Paul Valéry, Paul Claudel, François Mauriac, Daniel-Rops, Albert Camus, Marcel Aymé, Jean Paulhan, Roland Dorgelès, Jean Cocteau, Colette, Arthur Honegger, Maurice de Vlaminck, Jean Anouilh, André Barsacq, Jean-Louis Barrault, Thierry Maulnier etc, demanda au général de Gaulle, chef du gouvernement provisoire, la grâce du condamné. Le général choisit de ne pas commuer la peine prononcée, ce qui entraîna l'exécution de la sentence, le 6 février suivant. Brasillach fut fusillé au fort de Montrouge à l’âge de 34 ans et fut inhumé au cimetière de Charonne, dans le XXe arrondissement de Paris.
Le 5 janvier 2011, le célèbre magistrat Philippe Bilger publia un livre "20 minutes pour la mort. Robert Brasillach : le procès expédié" aux Editions du Rocher. Il y retrace le parcours de cet intellectuel sulfureux ainsi que son procès. Brasillach suscite toujours de nos jours la polémique. Bilger rejuge Brasillach, explorant comment le rédacteur en chef de "Je suis partout" a pu épouser la cause nazie et clamer son antisémitisme. Rappelant qu'il fut jugé sur ses écrits plus que sur des actes, et que survécurent les "profiteurs de l'Occupation, les trafiquants" ou les marchands de canons. Pour l'avocat général Philippe Bilger, que n'effleure pas un instant l'idée de réhabiliter Brasillach, ce procès fut indigne, un exemple déshonorant de justice expéditive.
-Extraits de Wikipédia-
14:18 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
21/06/2012
Alain Vidalies, Bruno Le Maire, les deux faces d'une même entente
Alain Vidalies, ministre chargé des Relations avec le Parlement, a estimé que les dirigeants du Front national ne devaient pas être reçus par François Hollande, quand celui-ci s’entretient avec les membres de l’opposition. Selon lui, on ne traite pas avec le FN « de la même manière que les autres ». Et le fait que le parti soit entré à l’Assemblée ne change rien.
La démocratie en trompe-l'oeil !!
Pour M. Vidalies, "ce n'est pas parce qu'à un moment donné une partie de l'opinion donnant son point de vue s'égare sur ce vote, qu'il faut y compris lui donner une réponse institutionnelle" et faire entrer le FN "dans le jeu institutionnel normal".
Les égarés du Front National apprécieront.
Quand à Bruno Le Maire : "Nos valeurs ne sont pas celles du Front National" : Voilà qui me rassure !! Le patriotisme n'a pas à se travestir pour les calculs d'intérêts d'un club dévoyé qui se décrète de plus actuelles vertus.
On n'est pas exclus parce qu'on est mauvais, on est exclus parce qu'Ulysse est craint des prétendants qui poursuivent Pénélope de leurs envies !!
11:14 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
15/06/2012
Roger Garaudy, figure trés controversée, est mort
Figure trés controversée du paysage intellectuel français, Roger Garaudy est mort. "Brillant orateur jouant de sa considérable culture et de ses allures de doux savant" (propos cités/le monde), député puis sénateur, il a été l'auteur d'une cinquantaine d'ouvrages, pour certains engagés. Titulaire de la croix de guerre 1939/1945 et de la médaille de la déportation et de l'internement pour faits de résistance, il n'en est pas moins un négationniste(=révisionniste) en puissance qui nie l'existence des chambres à gaz et le génocide hitlérien à travers son ouvrage "Les mythes fondateurs de la politique israélienne", ouvrage interdit en France et qui lui vaudra une condamnation. Ancien dirigeant du parti communiste français, il en est exclu en 1970 suite à la parution de deux ouvrages écrits suite à l'entrée des soviétiques en Tchécoslovaquie : "Peut-on être communiste en 1968 ? et "Pour un modèle français du socialisme". Né dans une famille athée d'ouvriers et de marins, il est hostile à tout athéisme rigide et veut ouvrir entre chrétiens et communistes de nouvelles perspectives de dialogue. Converti au protestantisme à 14 ans, puis au catholicisme à 57 ans, Roger Garaudy finit par se convertir à l'Islam à 67 ans en 1980. Sa popularité est grande dans les pays arabo-musulmans. Du Caire à Téhéran en passant par Beyrouth, Damas, Amman, le Qatar et les territoires palestiniens, il est accueilli avec égards. http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2012/06/15/mor...
13:33 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
08/06/2012
Le Nouvelobs peste contre Pujadas
Le "Nouvel Observateur"/leplus.nouvelobs.com ne se remet pas de l'accueil de David Pujadas à Marine Le Pen. Peut-être ses chroniqueurs politiques lui préfèrent-ils je ne sais quel équarrisseur du type Anne-Sophie Lapix ou autre exécuteur sans talent. Il serait question de reprocher à ce journaliste de France 2 la démarche de légitimer les mots du FN. En effet, "leplus/nouvelobs ne veut pas que l'on parle de "vote ethnique" à propos de Jean-Luc Mélenchon en quête d'électeurs.
Dévastateur, Terrible sont les expressions qui caractérisent la rage du chroniqueur politique diligenté impuissant face à l'utilisation de termes de moins en moins tabous, et permettant de dénoncer des problèmes naguères occultés voir bannis.
Citons nos élites journalistiques puisque leurs propres mots sont des aveux. Ces mots témoignent de leur partialité, mais aussi et surtout de leur volonté délibérée d'interdire toute vérité qui déroge à leur ligne politique et éditoriale :
"Le choix de l'expression "vote ethnique" est un choix éditorial calamiteux....Il y avait mille autres façons de poser à Marine Le Pen la question sur ce sujet, à supposer que ce soit un sujet. (Ne mérite d'être traité comme sujet que les questions qui plaisent à ces messieurs!!) Par exemple : "faites-vous une distinction entre citoyens français selon leur origine?" ou bien "si des citoyens français d'origine étrangère, proche ou lointaine ne votent pas pour vous, c'est que vous leur faites peur, non?"(question sous forme d'accusation qui donne la réponse voulue sans autre forme de procés!!)
L'aveu est d'autant plus cinglant (je cite): "Il y avait mille autre manières, mille autres mots, mille autres expressions, mais pas celle du "vote ethnique".
Et notre excellence journalistique de nous faire un petit exercice de style : "La question qui ne devait pas être posée en ces termes problématiques est couronnée, sacrée par la présence de cette incrustation." (Alors moi, je dis "chapeau bas" !!) Je cite encore: "Il est donc possible qu'il existe un "vote ethnique en France ? : Voilà la question qui est suggérée au téléspectateur et citoyen. Terrible.
Voilà mes amis comment le monde journalistique démocratico-marxiste ne supporte pas l'idée que l'on puisse vous suggérer quelque matière à penser qui soit de nature à vous faire réfléchir.
Du coup, tout journaliste qui ne bouffe pas du Le Pen est suspecté : Citons notre pantin encore et enfin: "A ce moment là, on se demande si le 20 heures de France 2 et David Pujadas pensent Le Pen, parlent Le Pen, même s'ils ne votent pas Le Pen."
L'expression "vote ethnique" / ou ce qu'il ne convient pas de dire !!
19:12 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
06/06/2012
Le banquier remplace le patron sur le billot virtuel des jacobins sans culottes
« C’est le banquier qui est responsable de la crise, pas l’immigré » Nouveau slogan du parti de gauche et consorts. Hier le patron, aujourd'hui le banquier, un roman bien français destiné à ne jamais dépasser le stade de la lecture. Tant qu'il y aura des générations à abuser, la scène se répétera sans que jamais les tireurs de ficelles ne soient inquiétés par leurs marionnettes.
En effet, c’est le banquier attelé au char de son Europe mondialiste éradicatrice qui travaille à la déconstruction d’un monde jadis au chevet des nations souveraines. Instrument destiné à l’exploitation des masses sous couvert de lobbys évangéliques émancipateurs, le mondialisme ne peut régner sans l'aval des partis sanctifiés par le banquier. Le banquier est pour le moins le promoteur d’une immigration destinée à dissoudre l’identité nationale préexistente, mais il n'a la possibilité de capitaliser son modèle de société qu'en s'appuyant, voir en armant les partis qui ont pour vocation et mission principales de canaliser les révoltes en les maintenant sous le joug de leurs geôliers. Ne reste plus alors aux partis qu'à conduire les peuples à oeuvrer contre eux-mêmes au nom d'utopies aux mobiles inavoués et au bénéfice de leur chapelle.
La messe est dite. Tu peux médire du pape et ne surtout point attenter à la religion. Non seulement les voeux du dieu peuple ne seront jamais exaucés, mais la bonne conscience entre les mains du prêt à tout peut se permettre tous les excés au moindre coût.
09:14 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
05/06/2012
Mélenchon l'éradicateur fait dans la terreur
Extrait d'un article "lepoint.fr" :
Lundi, le leader du Front de gauche a décidé de porter plainte contre Marine Le Pen pour la diffusion d'un faux tract du FN sur lequel apparaît la photo de Mélenchon avec une phrase tirée de son discours de Marseille du 14 avril : "Il n'y a pas d'avenir pour la France sans les Arabes et les Berbères du Maghreb", ainsi qu'une phrase rédigée en caractères arabes. La présidente du FN n'a pas manqué de réagir : "Nous ne regrettons pas notre action ! Vous pouvez engager toutes les procédures judiciaires que vous voulez et procéder à des intimidations, mais vous ne parviendrez pas à cacher la réalité : vous pensez que l'immigration est l'avenir de la France. Pas nous !"
10:20 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
04/06/2012
Madonna, l'ange noir va de concert avec un monde sans aucune tenue
Madonna doit donner plus de 80 spectacles dans une trentaine de pays dont deux en France, le 14 juillet au stade de France et le 21 août à Nice. Personnalité emblématique d'une certaine débauche et provocation morale au service de ses insatiables ambitions, tout lui est bon pour mener à bien ses conquêtes artistiques conditionnées à l'inélégance de ses allégeances les plus courtisanes. Sa marque de fabrique se caractérise par une entreprise d’altération rompue à l’avilissement et à la profanation de tout ce qui ne dessert pas les tendances délétères de son esprit aliéné. Fétichiste envers son inculte image en image culte, elle abuse de sa notoriété pour en faire une joute brutale dont la proie facile est absente de cette scène à grand spectacle racoleuse et névrosée.
C’est pourquoi, à l’occasion d’un concert Madonna s’est cru bien inspirée de gratifier ses fans d’un clip vidéo montrant un portrait de Marine Le Pen pendant quelques secondes avec une croix gammée sur le front en liaison avec un personnage composite ressemblant à Adolf Hitler.
La vidéo a été projetée sur la scène de Tel Aviv en prélude à la chanson "Nobody knows me", et fait partie de son "MDNA Tour". Osera-t-elle venir provoquer les français fidèles à Marine à l'occasion de ses deux spectacles en France ? Et Marine Le Pen de dire : "Si elle fait ça en France, on l'attendra au tournant."
On connaît bien notre âme soeur en la personne de Marine. Depuis quant la star Madonna peut-elle se prévaloir de la mieux connaître que ses compatriotes de coeur? En revanche, on connaît bien Madonna : "we know you for what you are".L'anathème ne témoigne pas de la vertu. Vertu dont elle n'est pas un symbole.
http://www.leparisien.fr/musique/concerts/madonna-contre-...
14:38 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (2) |
22/05/2012
Pour Christiane Taubira, c'est la loi qui doit s'adapter, pas les mineurs délinquants récidivistes
Christiane Taubira, soucieuse du sort réservé aux délinquants mineurs récidivistes, n'a cependant pas cru bon devoir réfléchir au sort des honnêtes gens ainsi qu'aux femmes vulnérables qui seront conduits à supporter les excés ou agressions de ces jeunes prédateurs pleins de haine ou de mépris. Protéger les délinquants récidivistes parce qu'ils sont mineurs, c'est prêter main forte à une société en déliquescence. Forts de leur impunité, leur audace se rit d'une loi chétive et complexée, privée de tout arsenal répressif à leur encontre.
Instaurés par la loi du 10 août 2011 et fonctionnant depuis janvier 2012, les tribunaux correctionnels pour mineurs, composés de trois juges professionnels, jugent les récidivistes de 16 à 18 ans encourant une peine égale ou supérieure à trois ans. Avant la réforme, ces jeunes comparaissaient, comme les autres mineurs, devant un tribunal pour enfants composé d'un juge des enfants et de deux assesseurs citoyens ayant une expérience des questions liées à l'enfance.
Marine Le Pen, pour sa part, prône une responsabilité pénale "accrue pour tous les mineurs de plus de 13 ans" et la suppression des aides sociales aux parents d'enfants récidivistes, "sous réserve de la preuve de leur carence".
************************
Un laxisme qui n'en est qu'à ses débuts / Symbole
Ironie de l'histoire, note Europe 1, l'administration pénitentiaire insistait beaucoup vendredi sur l'importance du sport en prison pour "s'évader". (On notera pour la circonstance l'utilisation du second degré). Mais alors que Christiane Taubira assistait vendredi dernier à un challenge de basket réunissant détenus et personnel pénitentiaire à Paris-Bercy, un détenu en a profité pour s'évader!! (Là, c'est pas du second degrés !! Peut-être une leçon de choses !!)
13:26 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (2) |
18/05/2012
Monde en survivance contre imposture sous couvert de transparence
La France d'aujourd'hui se donne la superbe d'un adjectif en surbrillance, dont le choix qualifie et règle le sujet conditionné à la mesure de son désengagement avec un monde à contretemps en survivance, à contretemps d'une imposture étalée au grand jour sous couvert de transparence.
13:58 Publié dans Faits de société, politique | Lien permanent | Commentaires (1) |
16/05/2012
François Hollande, 1er coup de canif dans les promesses électorales
Il n'aura pas fallu attendre longtemps. François Hollande a donné le 1er coup de canif dans les promesses de sa campagne électorale. En effet, pour mettre en oeuvre une République éthique, François Hollande avait spontanément évoqué le fait qu'il ne s'entourerait pas de gens qui avaient été condamnés.
"Je n'aurai pas autour de moi à l'Elysée des personnes jugées et condamnées".
Bingo, Jean-Marc Ayrault a été nommé 1er ministre !! D'aucuns disent pour sa défense qu'il ne s'agit pas d'un poste à l'Elysée. Chaque mot compte !! Mais c'est quand même pas un poste de sous-secrétaire d'Etat !!
Or, celui-ci avait été condamné en 1997 à six mois de prison avec sursis et 30.000 francs d'amende (4.600 euros) pour octroi d'avantages injustifiés (favoritisme) à la Société nouvelle d'édition et de publication (SNEP), qui avait réalisé "Nantes Passion", le journal municipal de la ville, de 1989 au 1er janvier 1994. Son PDG, Daniel Nedzela, était alors considéré comme le financier du PS en Loire-Atlantique. (A l'audience, J.M Ayrault affirmait que ni la SNEP ni M. Nedzela n'étaient intervenus dans le financement de ses campagnes électorales). Il faudrait être une sacré bille pour octroyer des avantages à X et en attendre des compensations directes, lorsqu'il peut exister de plus subtiles approches en fonction de la trame!! La fabrication de la brochure municipale avait coûté environ 6 millions de francs (915.000 euros) par an et la SNEP conservait 45% des recettes publicitaires. Pendant toute cette période, il n'y avait eu ni "appel formalisé à la concurrence", ni "contrat écrit autre que celui concernant la régie publicitaire", selon la Chambre régionale des comptes, dont un rapport était à l'origine des poursuites contre M. Ayrault.
"On nous avait dit que le sarkozysme, c'était terminé. Or, ça ressemble quand même grandement à une République irréprochable qui, dès les premiers jours, n'est plus si irréprochable que ça", a déclaré Marine Le Pen.
M. Ayrault : "Ma probité personnelle n'a jamais été mise en cause. Il n'a jamais été question d'enrichissement personnel ou de financement politique"...."Honnête homme je suis, honnête homme je resterai".
Tout est beau dans le meilleur des mondes !!
07:48 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) |